La Galerie est heureuse d’annoncer la représentation du peintre américain Charles Pollock, grand représentant du Color Field painting.18.11.2025
Charles Pollock dans son atelier Peintre discret mais essentiel, Charles Pollock s’est distingué par une trajectoire artistique singulière. Né à Denver en 1902, il étudie à l’Art Students League de New York auprès d Thomas Hart Benton, important représentant du réalisme américain, avant de s’imposer au sein de la scène artistique newyorkaise des années 1930. Il initie d’ailleurs son petit frère Jackson à l’art et l’incite à suivre sa voie jusqu’à l’accueillir chez lui en 1934. Partant d’un réalisme social marqué par les idéaux progressistes des années 1930, il évolue vers une abstraction d’une grande rigueur formelle, toute empreinte d’émotions contenues. Ses toiles des années 1950 et 1960, aux harmonies subtiles et aux formes organiques suspendues, comptent parmi les expressions les plus raffinées de la peinture américaine d’après-guerre. Proche du critique américain Clement Greenberg, il expose à l’époque aux côtés de tous les représentants du Color Field painting tels que Mark Rothko, Kenneth Noland ou Morris Louis. Il déménage à Paris en 1971 et poursuit jusqu’à la fin des années 1980 une quête picturale d’une rigueur et d’une sensibilité rares, où la couleur et le rythme deviennent les véritables sujets du tableau. Il décède en 1988, laissant derrière lui un œuvre essentiel, marqué par la recherche d’un équilibre entre intériorité et construction, avec une retenue presque musicale. Oublié du monde de l’art après son décès, Charles Pollock doit sa redécouverte au travail rigoureux de sa femme Sylvia et de sa fille Francesca, qui ont notamment retrouvé en 1995 la trace d’un entrepôt de Harlem où l’artiste avait enfoui toute sa production américaine. Francesca, à qui l’on doit la création des Charles Pollock Archives, continue aujourd’hui le travail de défense et de promotion de son père.


Charles Pollock, Black and Gray 5, 1960, Huile sur toile, 147 x 101 cm
Colloboration avec la Galerie Dina Vierny La Galerie Dina Vierny, qui représente plusieurs successions d’artistes majeurs du XXe siècle, consolide à travers cette collaboration sa présence sur la scène internationale. L’association avec les Charles Pollock Archives a pour objectif de préserver, promouvoir et diffuser l’œuvre de l’artiste, en développant des projets d’expositions, de publications et de recherche en France et à l’étranger. « Cette collaboration s’inscrit dans une volonté commune de replacer Charles Pollock au cœur du récit de l’art moderne – et plus spécifiquement au sein du récit américain - non comme uniquement le grand frère de Jackson Pollock qui l’a initié à l’art, mais plutôt comme un peintre d’une grande profondeur intellectuelle et d’une sensibilité unique », précisent Pierre et Alexandre Lorquin, directeurs de la Galerie Dina Vierny. La première exposition, qui se tiendra en janvier 2026, sera consacrée aux œuvres des années 1950 et 1960, et plus particulièrement aux séries Black and Gray et Rome, avec un catalogue comprenant un texte inédit de Pierre Wat, historien et critique d’art. Cet événement marquera une nouvelle étape dans la redécouverte en France de l’un des peintres majeurs de l’abstraction américaine d’après-guerre, dont l’œuvre, à la fois sensible et structuré, dialogue avec les grands courants du modernisme américain.
Colloboration avec la Galerie Dina Vierny La Galerie Dina Vierny, qui représente plusieurs successions d’artistes majeurs du XXe siècle, consolide à travers cette collaboration sa présence sur la scène internationale. L’association avec les Charles Pollock Archives a pour objectif de préserver, promouvoir et diffuser l’œuvre de l’artiste, en développant des projets d’expositions, de publications et de recherche en France et à l’étranger. « Cette collaboration s’inscrit dans une volonté commune de replacer Charles Pollock au cœur du récit de l’art moderne – et plus spécifiquement au sein du récit américain - non comme uniquement le grand frère de Jackson Pollock qui l’a initié à l’art, mais plutôt comme un peintre d’une grande profondeur intellectuelle et d’une sensibilité unique », précisent Pierre et Alexandre Lorquin, directeurs de la Galerie Dina Vierny. La première exposition, qui se tiendra en janvier 2026, sera consacrée aux œuvres des années 1950 et 1960, et plus particulièrement aux séries Black and Gray et Rome, avec un catalogue comprenant un texte inédit de Pierre Wat, historien et critique d’art. Cet événement marquera une nouvelle étape dans la redécouverte en France de l’un des peintres majeurs de l’abstraction américaine d’après-guerre, dont l’œuvre, à la fois sensible et structuré, dialogue avec les grands courants du modernisme américain.
Charles Pollock dans son atelier La Galerie est heureuse d’annoncer la représentation du peintre américain Charles Pollock, grand représentant du Color Field painting.
Peintre discret mais essentiel, Charles Pollock s’est distingué par une trajectoire artistique singulière. Né à Denver en 1902, il étudie à l’Art Students League de New York auprès d Thomas Hart Benton, important représentant du réalisme américain, avant de s’imposer au sein de la scène artistique newyorkaise des années 1930. Il initie d’ailleurs son petit frère Jackson à l’art et l’incite à suivre sa voie jusqu’à l’accueillir chez lui en 1934. Partant d’un réalisme social marqué par les idéaux progressistes des années 1930, il évolue vers une abstraction d’une grande rigueur formelle, toute empreinte d’émotions contenues. Ses toiles des années 1950 et 1960, aux harmonies subtiles et aux formes organiques suspendues, comptent parmi les expressions les plus raffinées de la peinture américaine d’après-guerre. Proche du critique américain Clement Greenberg, il expose à l’époque aux côtés de tous les représentants du Color Field painting tels que Mark Rothko, Kenneth Noland ou Morris Louis. Il déménage à Paris en 1971 et poursuit jusqu’à la fin des années 1980 une quête picturale d’une rigueur et d’une sensibilité rares, où la couleur et le rythme deviennent les véritables sujets du tableau. Il décède en 1988, laissant derrière lui un œuvre essentiel, marqué par la recherche d’un équilibre entre intériorité et construction, avec une retenue presque musicale. Oublié du monde de l’art après son décès, Charles Pollock doit sa redécouverte au travail rigoureux de sa femme Sylvia et de sa fille Francesca, qui ont notamment retrouvé en 1995 la trace d’un entrepôt de Harlem où l’artiste avait enfoui toute sa production américaine. Francesca, à qui l’on doit la création des Charles Pollock Archives, continue aujourd’hui le travail de défense et de promotion de son père.
Colloboration avec la Galerie Dina Vierny La Galerie Dina Vierny, qui représente plusieurs successions d’artistes majeurs du XXe siècle, consolide à travers cette collaboration sa présence sur la scène internationale. L’association avec les Charles Pollock Archives a pour objectif de préserver, promouvoir et diffuser l’œuvre de l’artiste, en développant des projets d’expositions, de publications et de recherche en France et à l’étranger. « Cette collaboration s’inscrit dans une volonté commune de replacer Charles Pollock au cœur du récit de l’art moderne – et plus spécifiquement au sein du récit américain - non comme uniquement le grand frère de Jackson Pollock qui l’a initié à l’art, mais plutôt comme un peintre d’une grande profondeur intellectuelle et d’une sensibilité unique », précisent Pierre et Alexandre Lorquin, directeurs de la Galerie Dina Vierny. La première exposition, qui se tiendra en janvier 2026, sera consacrée aux œuvres des années 1950 et 1960, et plus particulièrement aux séries Black and Gray et Rome, avec un catalogue comprenant un texte inédit de Pierre Wat, historien et critique d’art. Cet événement marquera une nouvelle étape dans la redécouverte en France de l’un des peintres majeurs de l’abstraction américaine d’après-guerre, dont l’œuvre, à la fois sensible et structuré, dialogue avec les grands courants du modernisme américain.
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