Judit Reigl est une peintre qui fut tour à tour surréaliste, abstraite ou figurative. Arrivée en France en 1950 après huit tentatives clandestines pour franchir le rideau de fer, Judit Reigl retrouve à Paris son compagnon d’études aux Beaux Arts de Budapest, Simon Hantaï. Ce dernier l’introduit auprès d’André Breton en 1954 qui, séduit par ses toiles surréalistes, l’invite à exposer à L’Étoile scellée. Elle s’éloigne ensuite du surréalisme et réalise plusieurs séries marquées par une intense gestualité : ce sont les Éclatements (1955-1958), les Centres de dominance (1958-1959) et les…
Judit Reigl est une peintre qui fut tour à tour surréaliste, abstraite ou figurative.
Arrivée en France en 1950 après huit tentatives clandestines pour franchir le rideau de fer, Judit Reigl retrouve à Paris son compagnon d’études aux Beaux Arts de Budapest, Simon Hantaï. Ce dernier l’introduit auprès d’André Breton en 1954 qui, séduit par ses toiles surréalistes, l’invite à exposer à L’Étoile scellée.
Elle s’éloigne ensuite du surréalisme et réalise plusieurs séries marquées par une intense gestualité : ce sont les Éclatements (1955-1958), les Centres de dominance (1958-1959) et les Écritures en masse (1959-1965).
Parallèlement, les toiles ratées sont conservées au sol de l’atelier et foulées, recouvertes des déjections picturales puis reprises, retravaillées : ce sont les Guano (1958-1965), l’équivalent physique et matériel de l’ambition cosmique de ses œuvres gestuelles.
Plus que l’élégance formelle du geste, c’est son authenticité que Judit Reigl recherche, une authenticité qui la mène à une figuration imprévue, faite de torses anthropomorphes – principalement masculins – peints avec force dans une apesanteur située entre l’envol et la chute et occupant toute la surface de ses toiles (Homme, 1966-1972 et Drap-Décodage, 1973). Ce travail culmine avec la série abstraite des Déroulements (1973-1985) où l’artiste approfondit une écriture automatique faite de tracés colorés émergeant par transparence au revers de la toile. Dans ses ultimes séries abstraites des années 1980-1988 réalisées sur le même principe, des rectangles monumentaux apparaissent progressivement, évoquant des « portes » où se glissent des silhouettes humaines (Face à…, 1988-1990). Dans la suite de ces apparitions figuratives, les corps nus se multiplient : ils apparaissent seuls ou en groupes, de face ou en lévitation, mais toujours en silhouette sur fond uni, réduits à l’essentiel de leur être. Ce retour à la figure témoigne d’une obsession constante chez l’artiste : celle de faire du corps – agissant ou représenté – le sujet même sa peinture.
Comme elle l’exprime très bien, « le fondement essentiel de toute démarche créatrice est le désir désespéré de détruire les contradictions et les limites de l’existence personnelle, humaine et cosmique et de s’étendre par une révolution permanente. » Judit Reigl puise toujours dans les expériences les plus profondes de son existence pour développer une réflexion très vaste et complexe sur l’humain. À la recherche d’essence et d’absolu, son œuvre témoigne de l’inconnu.
Tout gravite chez Judit Reigl. Tout se déroule dans un espace-temps aussi infini qu’indéfini. Son geste se déploie sur des toiles libérées de tout contexte, de toute temporalité, ce qui transmue ses formes abstraites ou figuratives en éléments universels. L’artiste s’exprime dans un mouvement permanent et toujours renouvelé. Ses gestes, suivant la logique de leur propre « hasard objectif », apparaissent dans ses peintures comme un équilibre entre le processus et ses intentions. Elle transforme ainsi, à la manière d’une chamane, ses conceptions humaines et métaphysiques, issues des tourments et de l’intensité de sa propre vie, en une définition cosmique.
Les oeuvres de Judit Reigl sont notamment présentes dans les collections du Musée national d’art moderne – Centre Georges Pompidou, du Musée d’Art Moderne de Paris, Musée des Beaux-Arts de Lyon et dans de nombreux FRAC et musées français ainsi que dans les grands musées du monde, The Museum of Modern Art, The Metropolitan Museum of Art, The Solomon R. Guggenheim Museum (New-York), The Albright-Knox Gallery (Buffalo), The Museum of Fine Arts (Houston), The Tate Modern (Londres), Musée national des beaux-arts, (Québec), Musée d’art contemporain de Montréal, Musée de Rimouski (Québec), Ludwig Museum of Contemporary Art, The Museum of Fine Arts et The National Gallery (Budapest).
Centers of Dominance, Neue Nationalgalerie, Berlin (30 juin – 08 octobre)
Judit Reigl, « Je suis la Règle », Galerie Kamel Mennour, Paris (8 février – 26 mars)
Judit Reigl, le vertige de l’infini, Musée des Beaux-Arts, Rouen (17 septembre – 17 janvier 2022)
Judit Reigl : Première abstraction, Galerie Dina Vierny, Paris (7 septembre – 20 novembre)
In Memoriam Judit Reigl, Kálmán Makláry Fine Arts, Budapest (septembre – octobre)
In Memoriam Judit Reigl, MODEM, Debrecen (20 août – 13 septembre)
Judit Reigl: Weightlessness, Ubu Gallery, New York (28 septembre – 16 février 2019)
Judit Reigl: Black is a color, Kálmán Makláry Fine Arts, Budapest (29 novembre – 14 décembre)
Judit Reigl Dance of Death, Shepherd W&K Galleries, New York (25 septembre – 20 octobre)
Judit Reigl: Late Works, Janos Gat Gallery chez Prisme, Paris (13 septembre – 6 octobre)
Judit Reigl “Le corps est le plus parfait instrument et le plus tragique obstacle”, Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris, Paris (31 mai – 19 août)
Judit Reigl: Body of Music, Allen Memorial Art Museum, Oberlin (2 février – 29 mai)
Judit Reigl: Late Paintings and Drawings, The Merchant House, Amsterdam (11 novembre – 3 février)
Judit Reigl 1974-1984, Kálmán Makláry Fine Arts, Budapest (11 février – 18 mars)
Judit Reigl: Emptiness and Ecstasy, Ludwig Museum of Contemporary Art, Budapest (22 mars – 22 juin)
Judit Reigl, Entrance-Exit (1986-89), Shepherd W&K Galleries, New York (31 octobre – 14 décembre)
Judit Reigl depuis 1950, le Déroulement de la peinture, Musée des Beaux-Arts, Nantes (9 octobre – 2 janvier 2011)
Judit Reigl, Déroulement, Kálmán Makláry Fine Arts,Budapest (mai)
Judit Reigl, Unfolding, Janos Gat Gallery, New York (2 avril – 30 mai)
Judit Reigl, Série “Homme” 1966-1969, Erdész & Makláry Fine Arts, Budapest (28 février – 22 mars)
Judit Reigl, A Survey, Janos Gat Gallery, New York (20 septembre – 24 novembre)
Judit Reigl, Déroulements, Galerie l’Or du Temps, Paris (1er juin – 7 juillet)
Judit Reigl, Tensions 1956-2006, Galerie de France, Paris (16 mars – 22 avril)
Judit Reigl, Műcsarnok / Kunsthalle, Budapest (5 octobre – 13 novembre)
Judit Reigl, Peintre, Fondation pour l’Art Contemporain, Toulouse (30 octobre – 31 janvier 2004)
Judit Reigl, Hors, Galerie de France, Paris (3 juin – 24 juillet)
Judit Reigl : Autour de la donation Goreli, Musée national d’art moderne – Centre Georges Pompidou, Paris (14 juin – 25 juillet)
Judit Reigl, Séries 1986-1992, Galerie de France, Paris (18 mars – 18 avril)
Judit Reigl (Peintures 1986-1989), Centre d’art contemporain, Orléans (7 octobre – 3 novembre) ; Fonds Régional d’Art Contemporain d’Auvergne, Clermont-Ferrand (16 novembre – 20 janvier 1990)
Judit Reigl, L’art de la fugue, peintures 1980–1982, Galerie de France, Paris (mai – juin)
Judit Reigl, Tableaux récents, Galerie Jolliet, Québec (23 mai – 23 juin)
Judit Reigl, Galerie Yvon Lambert, Paris (5 – 31 janvier)
Judit Reigl : Peintures choisies 1958-1978, Musée de Peinture, Grenoble (14 septembre – 6 novembre)
Judit Reigl, peintures récentes, Galerie Rencontres, Paris (6 mai – 26 juin)
Judit Reigl, Traversées, ARC 2, Musée d’art moderne de la Ville de Paris, Paris (5 novembre – 5 décembre)
Judit Reigl, Rétrospective, Maison de la Culture, Rennes (1er – 27 octobre)
Judit Reigl “Expérience de l’apesanteur”, Galerie van de Loo, Munich (novembre – décembre)
Judit Reigl, Galerie Kléber, Paris (12 février – 30 mars)
Reigl, Drian Gallery, Londres (12 novembre – 2 décembre)
Judit Reigl, Galerie À l’étoile scellée, Paris (16 novembre – 6 décembre)
« L’œil vérité » Le musée au second degré, MAC VAL, Vitry-sur-Seine ( 13 mai – 2 décembre)
Action, Geste, Peinture – Femmes dans l’abstraction, une histoire mondiale, 1940-1970, Fondation Van Gogh, Arles (3 juin – 22 octobre)
Painting the Essential — Surrealism and the East, West Bund Museum, Shanghai (29 avril – 24 septembre)
Surréalisme au féminin ?, Musée de Montmartre, Paris (31 mars – 10 septembre)
Action, Gesture, Paint: Women Artists and Global Abstraction 1940-70, Whitechapel Gallery, Londres (9 février – 7 mai)
Paris et nulle part ailleurs, 24 artistes étrangers à Paris. 1945-1972, Musée national de l’histoire de l’immigration, Paris (27 septembre – 22 janvier 2023)
Au cœur de l’abstraction – Collection de la Fondation Gandur pour l’Art, Fondation Maeght, Saint-Paul de Vence (2 juillet – 23 octobre)
The Shape of Freedom: International Abstraction after 1945, Museum Barberini, Potsdam (4 juin – 25 septembre)
À mains nues, MAC VAL, Vitry-sur-Seine (9 janvier – 2 avril 2023)
New Light: Encounters and Connections, Museum of Fine Arts, Boston (3 juillet – 6 février 2022)
Elles font l’abstraction, Musée national d’art moderne – Centre Pompidou, Paris (19 mai – 23 août)
Femmes années 1950, au fil de l’abstraction, peinture et sculpture, Musée Soulages, Rodez (14 décembre – 31 octobre 2020)
Artistic License: Six Takes on the Guggenheim Collection, Solomon R. Guggenheim Museum, New York (24 mai – 12 janvier 2020)
La vraie vie est ailleurs ! Femmes artistes autour de Marta Pan : Simone Boisecq, Charlotte Calmis, Juana Muller, Véra Pagava, Judit Reigl, Musée des Beaux-Arts, Brest (27 juin – 5 janvier 2020)
Préhistoire, une énigme moderne, Musée national d’art moderne – Centre Pompidou, Paris (8 mai – 16 septembre)
Epic Abstraction: Pollock to Herrera, The Metropolitan Museum of Art, New York (17 décembre – 4 février 2019)
Joyeuses frictions, Musée d’art moderne et contemporain, Strasbourg (5 octobre – 21 juin 2019)
Exposition des nommés du Prix Aware, Palais-Royal, Paris (20 janvier – 5 avril)
International Abstraction, 1949-1960, Kobra Museum for Modern Art, Amstelveen (5 avril – 31 aout)
En trois temps : Robert Le Vrac Tournières, Marie-Gabrielle Capet, Joan Mitchell, Musée des Beaux-Arts, Caen (14 juin – 21 septembre)
Brève histoire des lignes, Centre Pompidou, Metz (11 janvier – 1er avril)
Elles: Women Artists from the Centre Pompidou Paris, Seattle Art Museum, Seattle (11 octobre – 13 janvier 2013)
Art of Another Kind: International Abstraction and the Guggenheim, 1949-1960, Solomon R. Guggenheim Museum, New York (8 juin – 12 septembre)
Elles@centrepompidou, Musée national d’art moderne – Centre Georges Pompidou, Paris (27 mai – 21 février 2011)
Abstractions gestuelles après 1945, Grands formats de la collection du Musée national d’art moderne, Musée national d’art moderne – Centre Georges Pompidou, Paris (25 juin – 22 septembre)
Sign and Texture, Tate Modern, Londres (mai – octobre)
L’Arte delle Donne, de la Renaissance au Surréalisme, Palazzo Reale, Milan (5 décembre – 9 mars 2008)
Judit Reigl & Simon Hantaï, Erdész & Makláry Fine Arts, Budapest (24 juin – 14 juillet)
Le Noir est aussi une couleur, Fondation Maeght, Saint-Paul-de-Vence (30 juin – 5 novembre)
La Force de l’Art, Grand Palais, Paris (9 mai – 5 juin)
Le Regard de l’autre, Musée des Beaux-Arts, Rouen (27 avril – 2 septembre)
Signes, traces, écritures, de Alechinsky à Zao Wou-Ki, Musée national d’art moderne – Centre Georges Pompidou, Galerie d’art graphique, Paris (17 janvier – 19 mars)
Abstractions : France 1940-1965, Peintures et dessins des collections du Musée national d’art moderne, Musée Unterlinden, Colmar (16 octobre – 1er mars 1998)
Made in France 1947-1997, Musée national d’art moderne – Centre Georges Pompidou, Paris (30 janvier – 29 septembre)
La dimension du corps 1920-1980 (collections du Musée national d’art moderne – Centre Georges Pompidou), National Museum of Modern Art, Tokyo (5 mars – 19 mai) ; Museum of Modern Art, Kyoto (4 juin – 18 août)
Manifeste. Une histoire parallèle : 1960-1990, Musée national d’art moderne – Centre Georges Pompidou, Paris
La beauté sera convulsive. André Breton, Paris, Musée national d’art moderne – Centre Georges Pompidou (25 avril – 26 août) ; André Breton y el Surrealismo, Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofía, Madrid (2 octobre – fin novembre)
I Surrealisti, Milan, Palazzo Reale ; Die Surrealisten, Schirn Kunsthalle am Roemerberg, Frankfurt am Main
The Subject of Painting: A Selection by Paul Rodgers of nine contemporary painters working in France: Bishop, Cane, Devade, Dezeuze, Hantaï, Nivollet, Reigl, Thiolat, Viallat, Museum of Modern Art, Oxford ; Cartwright Hall, Bradford ; Museum of Modern Art, Bristol (1983)
Hommage au pays natal, Műcsarnok/Kunsthalle, Budapest
Tendances de l’art en France, 1968-1978 : Les Partis-pris de Marcelin Pleynet, ARC, Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris, Paris (13 septembre – 21 octobre)
3 villes, 3 collections : Grenoble, Marseille, Saint-Etienne : l’avant-garde, 1960-1976, Musée Cantini, Marseille ; Musée de peinture et de sculpture, Grenoble ; Musée d’art et d’industrie, Saint-Etienne
L’œil écoute. Exposition internationale d’art contemporain, Palais des Papes, Avignon
Pittsburgh International Exhibition of Contemporary Painting and Sculpture, Museum of Art, Carnegie Institute, Pittsburgh (27 octobre – 7 janvier 1968)
Guggenheim International Award, Solomon R. Guggenheim Museum, New York
Neue Malerei: Form, Struktur, Bedeutung, Städtische Galerie, Munich (10 juin – 28 août) ; Städtisches Museum, Leverkusen
Mostra artistica dell’Accademia d’Ungheria in Roma, Académie hongroise, Rome
Judit Reigl est une peintre qui fut tour à tour surréaliste, abstraite ou figurative.
Arrivée en France en 1950 après huit tentatives clandestines pour franchir le rideau de fer, Judit Reigl retrouve à Paris son compagnon d’études aux Beaux Arts de Budapest, Simon Hantaï. Ce dernier l’introduit auprès d’André Breton en 1954 qui, séduit par ses toiles surréalistes, l’invite à exposer à L’Étoile scellée.
Elle s’éloigne ensuite du surréalisme et réalise plusieurs séries marquées par une intense gestualité : ce sont les Éclatements (1955-1958), les Centres de dominance (1958-1959) et les Écritures en masse (1959-1965).
Parallèlement, les toiles ratées sont conservées au sol de l’atelier et foulées, recouvertes des déjections picturales puis reprises, retravaillées : ce sont les Guano (1958-1965), l’équivalent physique et matériel de l’ambition cosmique de ses œuvres gestuelles.
Plus que l’élégance formelle du geste, c’est son authenticité que Judit Reigl recherche, une authenticité qui la mène à une figuration imprévue, faite de torses anthropomorphes – principalement masculins – peints avec force dans une apesanteur située entre l’envol et la chute et occupant toute la surface de ses toiles (Homme, 1966-1972 et Drap-Décodage, 1973). Ce travail culmine avec la série abstraite des Déroulements (1973-1985) où l’artiste approfondit une écriture automatique faite de tracés colorés émergeant par transparence au revers de la toile. Dans ses ultimes séries abstraites des années 1980-1988 réalisées sur le même principe, des rectangles monumentaux apparaissent progressivement, évoquant des « portes » où se glissent des silhouettes humaines (Face à…, 1988-1990). Dans la suite de ces apparitions figuratives, les corps nus se multiplient : ils apparaissent seuls ou en groupes, de face ou en lévitation, mais toujours en silhouette sur fond uni, réduits à l’essentiel de leur être. Ce retour à la figure témoigne d’une obsession constante chez l’artiste : celle de faire du corps – agissant ou représenté – le sujet même sa peinture.
Comme elle l’exprime très bien, « le fondement essentiel de toute démarche créatrice est le désir désespéré de détruire les contradictions et les limites de l’existence personnelle, humaine et cosmique et de s’étendre par une révolution permanente. » Judit Reigl puise toujours dans les expériences les plus profondes de son existence pour développer une réflexion très vaste et complexe sur l’humain. À la recherche d’essence et d’absolu, son œuvre témoigne de l’inconnu.
Tout gravite chez Judit Reigl. Tout se déroule dans un espace-temps aussi infini qu’indéfini. Son geste se déploie sur des toiles libérées de tout contexte, de toute temporalité, ce qui transmue ses formes abstraites ou figuratives en éléments universels. L’artiste s’exprime dans un mouvement permanent et toujours renouvelé. Ses gestes, suivant la logique de leur propre « hasard objectif », apparaissent dans ses peintures comme un équilibre entre le processus et ses intentions. Elle transforme ainsi, à la manière d’une chamane, ses conceptions humaines et métaphysiques, issues des tourments et de l’intensité de sa propre vie, en une définition cosmique.
Les oeuvres de Judit Reigl sont notamment présentes dans les collections du Musée national d’art moderne – Centre Georges Pompidou, du Musée d’Art Moderne de Paris, Musée des Beaux-Arts de Lyon et dans de nombreux FRAC et musées français ainsi que dans les grands musées du monde, The Museum of Modern Art, The Metropolitan Museum of Art, The Solomon R. Guggenheim Museum (New-York), The Albright-Knox Gallery (Buffalo), The Museum of Fine Arts (Houston), The Tate Modern (Londres), Musée national des beaux-arts, (Québec), Musée d’art contemporain de Montréal, Musée de Rimouski (Québec), Ludwig Museum of Contemporary Art, The Museum of Fine Arts et The National Gallery (Budapest).
Centers of Dominance, Neue Nationalgalerie, Berlin (30 juin – 08 octobre)
Judit Reigl, « Je suis la Règle », Galerie Kamel Mennour, Paris (8 février – 26 mars)
Judit Reigl, le vertige de l’infini, Musée des Beaux-Arts, Rouen (17 septembre – 17 janvier 2022)
Judit Reigl : Première abstraction, Galerie Dina Vierny, Paris (7 septembre – 20 novembre)
In Memoriam Judit Reigl, Kálmán Makláry Fine Arts, Budapest (septembre – octobre)
In Memoriam Judit Reigl, MODEM, Debrecen (20 août – 13 septembre)
Judit Reigl: Weightlessness, Ubu Gallery, New York (28 septembre – 16 février 2019)
Judit Reigl: Black is a color, Kálmán Makláry Fine Arts, Budapest (29 novembre – 14 décembre)
Judit Reigl Dance of Death, Shepherd W&K Galleries, New York (25 septembre – 20 octobre)
Judit Reigl: Late Works, Janos Gat Gallery chez Prisme, Paris (13 septembre – 6 octobre)
Judit Reigl “Le corps est le plus parfait instrument et le plus tragique obstacle”, Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris, Paris (31 mai – 19 août)
Judit Reigl: Body of Music, Allen Memorial Art Museum, Oberlin (2 février – 29 mai)
Judit Reigl: Late Paintings and Drawings, The Merchant House, Amsterdam (11 novembre – 3 février)
Judit Reigl 1974-1984, Kálmán Makláry Fine Arts, Budapest (11 février – 18 mars)
Judit Reigl: Emptiness and Ecstasy, Ludwig Museum of Contemporary Art, Budapest (22 mars – 22 juin)
Judit Reigl, Entrance-Exit (1986-89), Shepherd W&K Galleries, New York (31 octobre – 14 décembre)
Judit Reigl depuis 1950, le Déroulement de la peinture, Musée des Beaux-Arts, Nantes (9 octobre – 2 janvier 2011)
Judit Reigl, Déroulement, Kálmán Makláry Fine Arts,Budapest (mai)
Judit Reigl, Unfolding, Janos Gat Gallery, New York (2 avril – 30 mai)
Judit Reigl, Série “Homme” 1966-1969, Erdész & Makláry Fine Arts, Budapest (28 février – 22 mars)
Judit Reigl, A Survey, Janos Gat Gallery, New York (20 septembre – 24 novembre)
Judit Reigl, Déroulements, Galerie l’Or du Temps, Paris (1er juin – 7 juillet)
Judit Reigl, Tensions 1956-2006, Galerie de France, Paris (16 mars – 22 avril)
Judit Reigl, Műcsarnok / Kunsthalle, Budapest (5 octobre – 13 novembre)
Judit Reigl, Peintre, Fondation pour l’Art Contemporain, Toulouse (30 octobre – 31 janvier 2004)
Judit Reigl, Hors, Galerie de France, Paris (3 juin – 24 juillet)
Judit Reigl : Autour de la donation Goreli, Musée national d’art moderne – Centre Georges Pompidou, Paris (14 juin – 25 juillet)
Judit Reigl, Séries 1986-1992, Galerie de France, Paris (18 mars – 18 avril)
Judit Reigl (Peintures 1986-1989), Centre d’art contemporain, Orléans (7 octobre – 3 novembre) ; Fonds Régional d’Art Contemporain d’Auvergne, Clermont-Ferrand (16 novembre – 20 janvier 1990)
Judit Reigl, L’art de la fugue, peintures 1980–1982, Galerie de France, Paris (mai – juin)
Judit Reigl, Tableaux récents, Galerie Jolliet, Québec (23 mai – 23 juin)
Judit Reigl, Galerie Yvon Lambert, Paris (5 – 31 janvier)
Judit Reigl : Peintures choisies 1958-1978, Musée de Peinture, Grenoble (14 septembre – 6 novembre)
Judit Reigl, peintures récentes, Galerie Rencontres, Paris (6 mai – 26 juin)
Judit Reigl, Traversées, ARC 2, Musée d’art moderne de la Ville de Paris, Paris (5 novembre – 5 décembre)
Judit Reigl, Rétrospective, Maison de la Culture, Rennes (1er – 27 octobre)
Judit Reigl “Expérience de l’apesanteur”, Galerie van de Loo, Munich (novembre – décembre)
Judit Reigl, Galerie Kléber, Paris (12 février – 30 mars)
Reigl, Drian Gallery, Londres (12 novembre – 2 décembre)
Judit Reigl, Galerie À l’étoile scellée, Paris (16 novembre – 6 décembre)
« L’œil vérité » Le musée au second degré, MAC VAL, Vitry-sur-Seine ( 13 mai – 2 décembre)
Action, Geste, Peinture – Femmes dans l’abstraction, une histoire mondiale, 1940-1970, Fondation Van Gogh, Arles (3 juin – 22 octobre)
Painting the Essential — Surrealism and the East, West Bund Museum, Shanghai (29 avril – 24 septembre)
Surréalisme au féminin ?, Musée de Montmartre, Paris (31 mars – 10 septembre)
Action, Gesture, Paint: Women Artists and Global Abstraction 1940-70, Whitechapel Gallery, Londres (9 février – 7 mai)
Paris et nulle part ailleurs, 24 artistes étrangers à Paris. 1945-1972, Musée national de l’histoire de l’immigration, Paris (27 septembre – 22 janvier 2023)
Au cœur de l’abstraction – Collection de la Fondation Gandur pour l’Art, Fondation Maeght, Saint-Paul de Vence (2 juillet – 23 octobre)
The Shape of Freedom: International Abstraction after 1945, Museum Barberini, Potsdam (4 juin – 25 septembre)
À mains nues, MAC VAL, Vitry-sur-Seine (9 janvier – 2 avril 2023)
New Light: Encounters and Connections, Museum of Fine Arts, Boston (3 juillet – 6 février 2022)
Elles font l’abstraction, Musée national d’art moderne – Centre Pompidou, Paris (19 mai – 23 août)
Femmes années 1950, au fil de l’abstraction, peinture et sculpture, Musée Soulages, Rodez (14 décembre – 31 octobre 2020)
Artistic License: Six Takes on the Guggenheim Collection, Solomon R. Guggenheim Museum, New York (24 mai – 12 janvier 2020)
La vraie vie est ailleurs ! Femmes artistes autour de Marta Pan : Simone Boisecq, Charlotte Calmis, Juana Muller, Véra Pagava, Judit Reigl, Musée des Beaux-Arts, Brest (27 juin – 5 janvier 2020)
Préhistoire, une énigme moderne, Musée national d’art moderne – Centre Pompidou, Paris (8 mai – 16 septembre)
Epic Abstraction: Pollock to Herrera, The Metropolitan Museum of Art, New York (17 décembre – 4 février 2019)
Joyeuses frictions, Musée d’art moderne et contemporain, Strasbourg (5 octobre – 21 juin 2019)
Exposition des nommés du Prix Aware, Palais-Royal, Paris (20 janvier – 5 avril)
International Abstraction, 1949-1960, Kobra Museum for Modern Art, Amstelveen (5 avril – 31 aout)
En trois temps : Robert Le Vrac Tournières, Marie-Gabrielle Capet, Joan Mitchell, Musée des Beaux-Arts, Caen (14 juin – 21 septembre)
Brève histoire des lignes, Centre Pompidou, Metz (11 janvier – 1er avril)
Elles: Women Artists from the Centre Pompidou Paris, Seattle Art Museum, Seattle (11 octobre – 13 janvier 2013)
Art of Another Kind: International Abstraction and the Guggenheim, 1949-1960, Solomon R. Guggenheim Museum, New York (8 juin – 12 septembre)
Elles@centrepompidou, Musée national d’art moderne – Centre Georges Pompidou, Paris (27 mai – 21 février 2011)
Abstractions gestuelles après 1945, Grands formats de la collection du Musée national d’art moderne, Musée national d’art moderne – Centre Georges Pompidou, Paris (25 juin – 22 septembre)
Sign and Texture, Tate Modern, Londres (mai – octobre)
L’Arte delle Donne, de la Renaissance au Surréalisme, Palazzo Reale, Milan (5 décembre – 9 mars 2008)
Judit Reigl & Simon Hantaï, Erdész & Makláry Fine Arts, Budapest (24 juin – 14 juillet)
Le Noir est aussi une couleur, Fondation Maeght, Saint-Paul-de-Vence (30 juin – 5 novembre)
La Force de l’Art, Grand Palais, Paris (9 mai – 5 juin)
Le Regard de l’autre, Musée des Beaux-Arts, Rouen (27 avril – 2 septembre)
Signes, traces, écritures, de Alechinsky à Zao Wou-Ki, Musée national d’art moderne – Centre Georges Pompidou, Galerie d’art graphique, Paris (17 janvier – 19 mars)
Abstractions : France 1940-1965, Peintures et dessins des collections du Musée national d’art moderne, Musée Unterlinden, Colmar (16 octobre – 1er mars 1998)
Made in France 1947-1997, Musée national d’art moderne – Centre Georges Pompidou, Paris (30 janvier – 29 septembre)
La dimension du corps 1920-1980 (collections du Musée national d’art moderne – Centre Georges Pompidou), National Museum of Modern Art, Tokyo (5 mars – 19 mai) ; Museum of Modern Art, Kyoto (4 juin – 18 août)
Manifeste. Une histoire parallèle : 1960-1990, Musée national d’art moderne – Centre Georges Pompidou, Paris
La beauté sera convulsive. André Breton, Paris, Musée national d’art moderne – Centre Georges Pompidou (25 avril – 26 août) ; André Breton y el Surrealismo, Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofía, Madrid (2 octobre – fin novembre)
I Surrealisti, Milan, Palazzo Reale ; Die Surrealisten, Schirn Kunsthalle am Roemerberg, Frankfurt am Main
The Subject of Painting: A Selection by Paul Rodgers of nine contemporary painters working in France: Bishop, Cane, Devade, Dezeuze, Hantaï, Nivollet, Reigl, Thiolat, Viallat, Museum of Modern Art, Oxford ; Cartwright Hall, Bradford ; Museum of Modern Art, Bristol (1983)
Hommage au pays natal, Műcsarnok/Kunsthalle, Budapest
Tendances de l’art en France, 1968-1978 : Les Partis-pris de Marcelin Pleynet, ARC, Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris, Paris (13 septembre – 21 octobre)
3 villes, 3 collections : Grenoble, Marseille, Saint-Etienne : l’avant-garde, 1960-1976, Musée Cantini, Marseille ; Musée de peinture et de sculpture, Grenoble ; Musée d’art et d’industrie, Saint-Etienne
L’œil écoute. Exposition internationale d’art contemporain, Palais des Papes, Avignon
Pittsburgh International Exhibition of Contemporary Painting and Sculpture, Museum of Art, Carnegie Institute, Pittsburgh (27 octobre – 7 janvier 1968)
Guggenheim International Award, Solomon R. Guggenheim Museum, New York
Neue Malerei: Form, Struktur, Bedeutung, Städtische Galerie, Munich (10 juin – 28 août) ; Städtisches Museum, Leverkusen
Mostra artistica dell’Accademia d’Ungheria in Roma, Académie hongroise, Rome
Judit Reigl est une peintre qui fut tour à tour surréaliste, abstraite ou figurative. Arrivée en France en 1950 après huit tentatives clandestines pour franchir le rideau de fer, Judit Reigl retrouve à Paris son compagnon d’études aux Beaux Arts de Budapest, Simon Hantaï. Ce dernier l’introduit auprès d’André Breton en 1954 qui, séduit par ses toiles surréalistes, l’invite à exposer à L’Étoile scellée. Elle s’éloigne ensuite du surréalisme et réalise plusieurs séries marquées par une intense gestualité : ce sont les Éclatements (1955-1958), les Centres de dominance (1958-1959) et les…
Judit Reigl est une peintre qui fut tour à tour surréaliste, abstraite ou figurative.
Arrivée en France en 1950 après huit tentatives clandestines pour franchir le rideau de fer, Judit Reigl retrouve à Paris son compagnon d’études aux Beaux Arts de Budapest, Simon Hantaï. Ce dernier l’introduit auprès d’André Breton en 1954 qui, séduit par ses toiles surréalistes, l’invite à exposer à L’Étoile scellée.
Elle s’éloigne ensuite du surréalisme et réalise plusieurs séries marquées par une intense gestualité : ce sont les Éclatements (1955-1958), les Centres de dominance (1958-1959) et les Écritures en masse (1959-1965).
Parallèlement, les toiles ratées sont conservées au sol de l’atelier et foulées, recouvertes des déjections picturales puis reprises, retravaillées : ce sont les Guano (1958-1965), l’équivalent physique et matériel de l’ambition cosmique de ses œuvres gestuelles.
Plus que l’élégance formelle du geste, c’est son authenticité que Judit Reigl recherche, une authenticité qui la mène à une figuration imprévue, faite de torses anthropomorphes – principalement masculins – peints avec force dans une apesanteur située entre l’envol et la chute et occupant toute la surface de ses toiles (Homme, 1966-1972 et Drap-Décodage, 1973). Ce travail culmine avec la série abstraite des Déroulements (1973-1985) où l’artiste approfondit une écriture automatique faite de tracés colorés émergeant par transparence au revers de la toile. Dans ses ultimes séries abstraites des années 1980-1988 réalisées sur le même principe, des rectangles monumentaux apparaissent progressivement, évoquant des « portes » où se glissent des silhouettes humaines (Face à…, 1988-1990). Dans la suite de ces apparitions figuratives, les corps nus se multiplient : ils apparaissent seuls ou en groupes, de face ou en lévitation, mais toujours en silhouette sur fond uni, réduits à l’essentiel de leur être. Ce retour à la figure témoigne d’une obsession constante chez l’artiste : celle de faire du corps – agissant ou représenté – le sujet même sa peinture.
Comme elle l’exprime très bien, « le fondement essentiel de toute démarche créatrice est le désir désespéré de détruire les contradictions et les limites de l’existence personnelle, humaine et cosmique et de s’étendre par une révolution permanente. » Judit Reigl puise toujours dans les expériences les plus profondes de son existence pour développer une réflexion très vaste et complexe sur l’humain. À la recherche d’essence et d’absolu, son œuvre témoigne de l’inconnu.
Tout gravite chez Judit Reigl. Tout se déroule dans un espace-temps aussi infini qu’indéfini. Son geste se déploie sur des toiles libérées de tout contexte, de toute temporalité, ce qui transmue ses formes abstraites ou figuratives en éléments universels. L’artiste s’exprime dans un mouvement permanent et toujours renouvelé. Ses gestes, suivant la logique de leur propre « hasard objectif », apparaissent dans ses peintures comme un équilibre entre le processus et ses intentions. Elle transforme ainsi, à la manière d’une chamane, ses conceptions humaines et métaphysiques, issues des tourments et de l’intensité de sa propre vie, en une définition cosmique.
Les oeuvres de Judit Reigl sont notamment présentes dans les collections du Musée national d’art moderne – Centre Georges Pompidou, du Musée d’Art Moderne de Paris, Musée des Beaux-Arts de Lyon et dans de nombreux FRAC et musées français ainsi que dans les grands musées du monde, The Museum of Modern Art, The Metropolitan Museum of Art, The Solomon R. Guggenheim Museum (New-York), The Albright-Knox Gallery (Buffalo), The Museum of Fine Arts (Houston), The Tate Modern (Londres), Musée national des beaux-arts, (Québec), Musée d’art contemporain de Montréal, Musée de Rimouski (Québec), Ludwig Museum of Contemporary Art, The Museum of Fine Arts et The National Gallery (Budapest).
Centers of Dominance, Neue Nationalgalerie, Berlin (30 juin – 08 octobre)
Judit Reigl, « Je suis la Règle », Galerie Kamel Mennour, Paris (8 février – 26 mars)
Judit Reigl, le vertige de l’infini, Musée des Beaux-Arts, Rouen (17 septembre – 17 janvier 2022)
Judit Reigl : Première abstraction, Galerie Dina Vierny, Paris (7 septembre – 20 novembre)
In Memoriam Judit Reigl, Kálmán Makláry Fine Arts, Budapest (septembre – octobre)
In Memoriam Judit Reigl, MODEM, Debrecen (20 août – 13 septembre)
Judit Reigl: Weightlessness, Ubu Gallery, New York (28 septembre – 16 février 2019)
Judit Reigl: Black is a color, Kálmán Makláry Fine Arts, Budapest (29 novembre – 14 décembre)
Judit Reigl Dance of Death, Shepherd W&K Galleries, New York (25 septembre – 20 octobre)
Judit Reigl: Late Works, Janos Gat Gallery chez Prisme, Paris (13 septembre – 6 octobre)
Judit Reigl “Le corps est le plus parfait instrument et le plus tragique obstacle”, Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris, Paris (31 mai – 19 août)
Judit Reigl: Body of Music, Allen Memorial Art Museum, Oberlin (2 février – 29 mai)
Judit Reigl: Late Paintings and Drawings, The Merchant House, Amsterdam (11 novembre – 3 février)
Judit Reigl 1974-1984, Kálmán Makláry Fine Arts, Budapest (11 février – 18 mars)
Judit Reigl: Emptiness and Ecstasy, Ludwig Museum of Contemporary Art, Budapest (22 mars – 22 juin)
Judit Reigl, Entrance-Exit (1986-89), Shepherd W&K Galleries, New York (31 octobre – 14 décembre)
Judit Reigl depuis 1950, le Déroulement de la peinture, Musée des Beaux-Arts, Nantes (9 octobre – 2 janvier 2011)
Judit Reigl, Déroulement, Kálmán Makláry Fine Arts,Budapest (mai)
Judit Reigl, Unfolding, Janos Gat Gallery, New York (2 avril – 30 mai)
Judit Reigl, Série “Homme” 1966-1969, Erdész & Makláry Fine Arts, Budapest (28 février – 22 mars)
Judit Reigl, A Survey, Janos Gat Gallery, New York (20 septembre – 24 novembre)
Judit Reigl, Déroulements, Galerie l’Or du Temps, Paris (1er juin – 7 juillet)
Judit Reigl, Tensions 1956-2006, Galerie de France, Paris (16 mars – 22 avril)
Judit Reigl, Műcsarnok / Kunsthalle, Budapest (5 octobre – 13 novembre)
Judit Reigl, Peintre, Fondation pour l’Art Contemporain, Toulouse (30 octobre – 31 janvier 2004)
Judit Reigl, Hors, Galerie de France, Paris (3 juin – 24 juillet)
Judit Reigl : Autour de la donation Goreli, Musée national d’art moderne – Centre Georges Pompidou, Paris (14 juin – 25 juillet)
Judit Reigl, Séries 1986-1992, Galerie de France, Paris (18 mars – 18 avril)
Judit Reigl (Peintures 1986-1989), Centre d’art contemporain, Orléans (7 octobre – 3 novembre) ; Fonds Régional d’Art Contemporain d’Auvergne, Clermont-Ferrand (16 novembre – 20 janvier 1990)
Judit Reigl, L’art de la fugue, peintures 1980–1982, Galerie de France, Paris (mai – juin)
Judit Reigl, Tableaux récents, Galerie Jolliet, Québec (23 mai – 23 juin)
Judit Reigl, Galerie Yvon Lambert, Paris (5 – 31 janvier)
Judit Reigl : Peintures choisies 1958-1978, Musée de Peinture, Grenoble (14 septembre – 6 novembre)
Judit Reigl, peintures récentes, Galerie Rencontres, Paris (6 mai – 26 juin)
Judit Reigl, Traversées, ARC 2, Musée d’art moderne de la Ville de Paris, Paris (5 novembre – 5 décembre)
Judit Reigl, Rétrospective, Maison de la Culture, Rennes (1er – 27 octobre)
Judit Reigl “Expérience de l’apesanteur”, Galerie van de Loo, Munich (novembre – décembre)
Judit Reigl, Galerie Kléber, Paris (12 février – 30 mars)
Reigl, Drian Gallery, Londres (12 novembre – 2 décembre)
Judit Reigl, Galerie À l’étoile scellée, Paris (16 novembre – 6 décembre)
« L’œil vérité » Le musée au second degré, MAC VAL, Vitry-sur-Seine ( 13 mai – 2 décembre)
Action, Geste, Peinture – Femmes dans l’abstraction, une histoire mondiale, 1940-1970, Fondation Van Gogh, Arles (3 juin – 22 octobre)
Painting the Essential — Surrealism and the East, West Bund Museum, Shanghai (29 avril – 24 septembre)
Surréalisme au féminin ?, Musée de Montmartre, Paris (31 mars – 10 septembre)
Action, Gesture, Paint: Women Artists and Global Abstraction 1940-70, Whitechapel Gallery, Londres (9 février – 7 mai)
Paris et nulle part ailleurs, 24 artistes étrangers à Paris. 1945-1972, Musée national de l’histoire de l’immigration, Paris (27 septembre – 22 janvier 2023)
Au cœur de l’abstraction – Collection de la Fondation Gandur pour l’Art, Fondation Maeght, Saint-Paul de Vence (2 juillet – 23 octobre)
The Shape of Freedom: International Abstraction after 1945, Museum Barberini, Potsdam (4 juin – 25 septembre)
À mains nues, MAC VAL, Vitry-sur-Seine (9 janvier – 2 avril 2023)
New Light: Encounters and Connections, Museum of Fine Arts, Boston (3 juillet – 6 février 2022)
Elles font l’abstraction, Musée national d’art moderne – Centre Pompidou, Paris (19 mai – 23 août)
Femmes années 1950, au fil de l’abstraction, peinture et sculpture, Musée Soulages, Rodez (14 décembre – 31 octobre 2020)
Artistic License: Six Takes on the Guggenheim Collection, Solomon R. Guggenheim Museum, New York (24 mai – 12 janvier 2020)
La vraie vie est ailleurs ! Femmes artistes autour de Marta Pan : Simone Boisecq, Charlotte Calmis, Juana Muller, Véra Pagava, Judit Reigl, Musée des Beaux-Arts, Brest (27 juin – 5 janvier 2020)
Préhistoire, une énigme moderne, Musée national d’art moderne – Centre Pompidou, Paris (8 mai – 16 septembre)
Epic Abstraction: Pollock to Herrera, The Metropolitan Museum of Art, New York (17 décembre – 4 février 2019)
Joyeuses frictions, Musée d’art moderne et contemporain, Strasbourg (5 octobre – 21 juin 2019)
Exposition des nommés du Prix Aware, Palais-Royal, Paris (20 janvier – 5 avril)
International Abstraction, 1949-1960, Kobra Museum for Modern Art, Amstelveen (5 avril – 31 aout)
En trois temps : Robert Le Vrac Tournières, Marie-Gabrielle Capet, Joan Mitchell, Musée des Beaux-Arts, Caen (14 juin – 21 septembre)
Brève histoire des lignes, Centre Pompidou, Metz (11 janvier – 1er avril)
Elles: Women Artists from the Centre Pompidou Paris, Seattle Art Museum, Seattle (11 octobre – 13 janvier 2013)
Art of Another Kind: International Abstraction and the Guggenheim, 1949-1960, Solomon R. Guggenheim Museum, New York (8 juin – 12 septembre)
Elles@centrepompidou, Musée national d’art moderne – Centre Georges Pompidou, Paris (27 mai – 21 février 2011)
Abstractions gestuelles après 1945, Grands formats de la collection du Musée national d’art moderne, Musée national d’art moderne – Centre Georges Pompidou, Paris (25 juin – 22 septembre)
Sign and Texture, Tate Modern, Londres (mai – octobre)
L’Arte delle Donne, de la Renaissance au Surréalisme, Palazzo Reale, Milan (5 décembre – 9 mars 2008)
Judit Reigl & Simon Hantaï, Erdész & Makláry Fine Arts, Budapest (24 juin – 14 juillet)
Le Noir est aussi une couleur, Fondation Maeght, Saint-Paul-de-Vence (30 juin – 5 novembre)
La Force de l’Art, Grand Palais, Paris (9 mai – 5 juin)
Le Regard de l’autre, Musée des Beaux-Arts, Rouen (27 avril – 2 septembre)
Signes, traces, écritures, de Alechinsky à Zao Wou-Ki, Musée national d’art moderne – Centre Georges Pompidou, Galerie d’art graphique, Paris (17 janvier – 19 mars)
Abstractions : France 1940-1965, Peintures et dessins des collections du Musée national d’art moderne, Musée Unterlinden, Colmar (16 octobre – 1er mars 1998)
Made in France 1947-1997, Musée national d’art moderne – Centre Georges Pompidou, Paris (30 janvier – 29 septembre)
La dimension du corps 1920-1980 (collections du Musée national d’art moderne – Centre Georges Pompidou), National Museum of Modern Art, Tokyo (5 mars – 19 mai) ; Museum of Modern Art, Kyoto (4 juin – 18 août)
Manifeste. Une histoire parallèle : 1960-1990, Musée national d’art moderne – Centre Georges Pompidou, Paris
La beauté sera convulsive. André Breton, Paris, Musée national d’art moderne – Centre Georges Pompidou (25 avril – 26 août) ; André Breton y el Surrealismo, Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofía, Madrid (2 octobre – fin novembre)
I Surrealisti, Milan, Palazzo Reale ; Die Surrealisten, Schirn Kunsthalle am Roemerberg, Frankfurt am Main
The Subject of Painting: A Selection by Paul Rodgers of nine contemporary painters working in France: Bishop, Cane, Devade, Dezeuze, Hantaï, Nivollet, Reigl, Thiolat, Viallat, Museum of Modern Art, Oxford ; Cartwright Hall, Bradford ; Museum of Modern Art, Bristol (1983)
Hommage au pays natal, Műcsarnok/Kunsthalle, Budapest
Tendances de l’art en France, 1968-1978 : Les Partis-pris de Marcelin Pleynet, ARC, Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris, Paris (13 septembre – 21 octobre)
3 villes, 3 collections : Grenoble, Marseille, Saint-Etienne : l’avant-garde, 1960-1976, Musée Cantini, Marseille ; Musée de peinture et de sculpture, Grenoble ; Musée d’art et d’industrie, Saint-Etienne
L’œil écoute. Exposition internationale d’art contemporain, Palais des Papes, Avignon
Pittsburgh International Exhibition of Contemporary Painting and Sculpture, Museum of Art, Carnegie Institute, Pittsburgh (27 octobre – 7 janvier 1968)
Guggenheim International Award, Solomon R. Guggenheim Museum, New York
Neue Malerei: Form, Struktur, Bedeutung, Städtische Galerie, Munich (10 juin – 28 août) ; Städtisches Museum, Leverkusen
Mostra artistica dell’Accademia d’Ungheria in Roma, Académie hongroise, Rome
Galerie Dina Vierny
36 rue Jacob 75006 Paris
Ouvert du mardi au samedi de 10h à 19h
Galerie Dina Vierny
36 rue Jacob 75006 Paris
Ouvert du mardi au samedi
de 10h à 19h
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