Né dans les Vosges dans une famille d’instituteurs, Louis Vivin fit une carrière dans l’administration des PTT (Postes Télégraphes et Téléphones). Bien qu’il ait peint toute sa vie, c’est véritablement à partir de sa retraite, obtenue en 1923 pour son attitude exemplaire pendant la guerre, qu’il se consacre pleinement à la peinture jusqu’en 1934, où une paralysie du bras droit le contraint à abandonner la peinture. Sa première exposition a lieu au Salon des agents des Postes en 1889. Il fonde ensuite la section artistique des PTT, mais c’est surtout…
Né dans les Vosges dans une famille d’instituteurs, Louis Vivin fit une carrière dans l’administration des PTT (Postes Télégraphes et Téléphones). Bien qu’il ait peint toute sa vie, c’est véritablement à partir de sa retraite, obtenue en 1923 pour son attitude exemplaire pendant la guerre, qu’il se consacre pleinement à la peinture jusqu’en 1934, où une paralysie du bras droit le contraint à abandonner la peinture.
Sa première exposition a lieu au Salon des agents des Postes en 1889. Il fonde ensuite la section artistique des PTT, mais c’est surtout sa rencontre avec le critique d’art Wilhelm Uhde en 1924 qui va favoriser sa reconnaissance. Ce dernier est un fervent défenseur des « Primitifs Modernes » (Douanier Rousseau, Bauchant, Bombois, Séraphine, Rimbert, Peyronnet, etc.) auxquels il associe Louis Vivin. Il lui organise alors une exposition personnelle en 1925 qui le sort de l’anonymat, puis l’expose aux côtés du Douanier-Rousseau, de Bombois et Séraphine Louis à la Galerie des Quatre Chemins.
La consécration internationale arrive un an après sa mort, lors de l’exposition « Les Maîtres populaires de la réalité » (1937, Paris, Salle Royale).
Les thèmes que Vivin peint sont notamment inspirés par les cartes postales qu’il avait pour habitude de collectionner (monuments historiques parisiens, Montmartre, quais de la Seine, etc.). Le traitement des paysages urbains de ce peintre autodidacte n’est pas une tentative de représentation objective selon une interprétation de l’espace. La construction pierre par pierre de ses compositions traduit une confrontation entre la vision du monde extérieur et l’organisation qu’impose sa personnalité. En ressort une peinture aspirant au repos des sens et à la sévère et pure construction intellectuelle. La solitude, la monotonie et la tristesse naturelle de la vie quotidienne dépouillent ses tableaux de tout réalisme et affirment sévèrement la réalité banale pour ce peintre qui, par modestie, n’aurait pu oser peindre l’imaginaire. Mais derrière toutes ces façades régulières, en apparence objectives, ressort l’incertain, le mystère et le chagrin.
Louis Vivin, Kunstsalon Wolfsberg, Zürich (18 juin – 21 août)
Louis Vivin, Galerie Dina Vierny, Paris (11 décembre – 31 janvier 1980)
Louis Vivin : His Paris, Perls Gallery, New York (6 avril – 1er mai)
Louis Vivin, Perls Gallery, New York
Louis Vivin, Jeffres Gallery, Londres
Louis Vivin 1861-1936, Perls Gallery, New York (8 février – 6 mars)
Louis Vivin peintre de Paris, Centre Saint-Jacques, Paris
Louis Vivin, Sydney Janis Gallery, New York (décembre – janvier 1950)
Louis Vivin, Galerie Bing, Paris (mars)
Louis Vivin, Arts Club, Chicago (décembre)
The wonderful world of the Naïves Painters, Jiushi Art Museum, Shanghai (1er août – 12 novembre)
Naive Realism | From Rousseau to Grandma Moses, Museum More, Gorssel (25 mars – 25 juin)
Bleu-Rouge-Jaune, la palette des primitifs modernes, Galerie Dina Vierny, Paris (10 novembre – 4 février, 2023)
Die Maler des Heiligen Lichts, Museum Frieder Burda, Baden-Baden (16 juillet – 20 novembre)
Du Douanier Rousseau à Séraphine, Musée Maillol, Paris (11 septembre – 23 février 2020)
De Picasso à Séraphine – Wilhelm Uhde et les Primitifs Modernes, Lam, Villeneuve d’Ascq (29 septembre – 7 janvier 2018)
70 ans déjà, Galerie Dina Vierny, Paris (25 janvier – 24 mars)
Les Primitifs Modernes, Galerie Dina Vierny, Paris (16 mars – 30 juillet)
Bauchant – Bombois – Vivin – Horvat, Galerie Dina Vierny, Paris (13 avril – 30 juillet)
Bombois – Bauchant – Vivin – Zitman – Couturier, Galerie Dina Vierny, Paris
Le monde merveilleux des naïfs, Galerie Dina Vierny, Paris (6 juin – 14 juillet)
Die Kunst der Naïven, Haus der Kunst, Munich (1er novembre – 12 janvier 1975); Kunsthaus, Zürich (25 janvier 1975 – 31 mars 1975)
La Grande Domenica Rassegna internazionale dei Naifs, Rotonda di Via Besane, Milan (1 – 19 mai)
De Grote Naiven, Stedelijk Museum, Amsterdam (24 août – 20 octobre)
Naivni 70, Galerija primitiove umjetnosti, Zagreb (18 juillet – 20 septembre) ; Belgrade ; Rijeka ; Ljubljana
2e triennale d’Art Naif, Slovenska Narodna Galeria, Bratislava
Rousseau et le Monde des Naïfs, Galerie Seibu, Tokyo (3 – 28 septembre)
Le panorama international de la peinture naïve, M.U.C.F, Rabat (juillet – septembre)
Le Monde des Naïfs, Musée d’Art moderne, Paris (14 octobre – 6 decembre)
Pittori naïfs italiani e francesi, Palazzo Barberini, Rome
Naïve Malerei, Oldenburger Kunstverein, Oldenburg
De Lusthof der Naïven, Boymans-van Beuningen Museum, Rotterdam (10 juillet – 6 septembre)
Die Welt die Naiven, Salzburger residenzgalerie, Salzburg (4 juillet – 30 septembre)
France Landschappen van Cezanne tot heden, Boymans van Beuningen Museum, Rotterdam (4 octobre – 17 novembre)
Les peintres naïfs, Arthur Tooth and Sons Limited, Londres
Das Naive Bildt der Welt, Kunsthalle, Baden Baden (2 juillet – 4 septembre) ; Historisches Museum, Francfort (16 septembre – 19 octobre) ; Kunstverein, Hanovre (29 octobre – 10 décembre)
La peinture naïve du Douanier Rousseau à nos jours, Maison de la Pensée française, Paris (16 juin – 9 octobre)
La peinture naïve, VIII Salon interministériel des Beaux-Arts de la Ville de Paris, Paris (13 – 29 mai)
Schönheit aus der Hand: Schönheit durch die Maschine, Städtische Kunsthalle, Recklinghausen (14 juin – 27 juillet)
Les peintres naïfs du Douanier Rousseau à nos jours, Casino de Knokke-le-Zoute, Knokke-le-Zoute (20 juin – 31 août)
Cinq Maîtres Primitifs : Rousseau – Bauchant – Séraphine – Bombois – Vivin, Galerie Dina Vierny, Paris (22 mai – 30 juin)
Quelques peintres de l’éternel dimanche, Galerie Mignon-Massart, Nantes (27 avril – 12 mai)
Bauchant / Bombois / Séraphine / Vivin, Kunsthalle, Bâle (30 juin – 12 août)
Cinquante ans de peinture française, Musée des Arts Décoratifs, Paris (mars – avril)
Maler des Einfaltigen Herzens, Museum am Ostwall, Dortmund (20 septembre – 18 octobre)
Four primitive Masters : Vivin – Bombois – Bauchant – Eve, Perls Gallery, New York
Un demi siècle de peinture française, 1900-1950, musée des Beaux-Arts, Lille (10 juin – 3 juillet)
Hommage à Wilhelm Uhde, Galerie Denise René, Paris (avril – mai)
Vivin, Bauchant, Bombois, Séraphine. Moderne primitive Maler, Kunsthalle, Bern (28 juillet – 28 août)
Moderne Primitieven, Stedelijk Museum, Amsterdam
Les maîtres populaires de la réalité, Arthur Tooth & Sons LTD, Londres (17 février – 12 mars 1938) ; Museum of Modern Art, New York (27 avril – 24 juillet)
Les maîtres populaires de la réalité, Salle royale, Paris (mai) ; Kunsthaus Zürich, Zürich (16 octobre – 21 novembre)
Un siècle de peinture naïve, Galerie des Beaux-Arts, Paris (16 – 31 octobre)
Les Primitifs modernes, Galerie Georges Bernheim
Ecole de Paris, Stedelijk Museum, Amsterdam
Peintures romantiques et naïves. Bombois, Vivin, Francis, Eve Smith. Galerie Colette Weil, Paris
Les Peintres du Sacré-Coeur, Galerie des 4 chemins, Paris
Hôtel des Postes, Paris
Né dans les Vosges dans une famille d’instituteurs, Louis Vivin fit une carrière dans l’administration des PTT (Postes Télégraphes et Téléphones). Bien qu’il ait peint toute sa vie, c’est véritablement à partir de sa retraite, obtenue en 1923 pour son attitude exemplaire pendant la guerre, qu’il se consacre pleinement à la peinture jusqu’en 1934, où une paralysie du bras droit le contraint à abandonner la peinture.
Sa première exposition a lieu au Salon des agents des Postes en 1889. Il fonde ensuite la section artistique des PTT, mais c’est surtout sa rencontre avec le critique d’art Wilhelm Uhde en 1924 qui va favoriser sa reconnaissance. Ce dernier est un fervent défenseur des « Primitifs Modernes » (Douanier Rousseau, Bauchant, Bombois, Séraphine, Rimbert, Peyronnet, etc.) auxquels il associe Louis Vivin. Il lui organise alors une exposition personnelle en 1925 qui le sort de l’anonymat, puis l’expose aux côtés du Douanier-Rousseau, de Bombois et Séraphine Louis à la Galerie des Quatre Chemins.
La consécration internationale arrive un an après sa mort, lors de l’exposition « Les Maîtres populaires de la réalité » (1937, Paris, Salle Royale).
Les thèmes que Vivin peint sont notamment inspirés par les cartes postales qu’il avait pour habitude de collectionner (monuments historiques parisiens, Montmartre, quais de la Seine, etc.). Le traitement des paysages urbains de ce peintre autodidacte n’est pas une tentative de représentation objective selon une interprétation de l’espace. La construction pierre par pierre de ses compositions traduit une confrontation entre la vision du monde extérieur et l’organisation qu’impose sa personnalité. En ressort une peinture aspirant au repos des sens et à la sévère et pure construction intellectuelle. La solitude, la monotonie et la tristesse naturelle de la vie quotidienne dépouillent ses tableaux de tout réalisme et affirment sévèrement la réalité banale pour ce peintre qui, par modestie, n’aurait pu oser peindre l’imaginaire. Mais derrière toutes ces façades régulières, en apparence objectives, ressort l’incertain, le mystère et le chagrin.
Louis Vivin, Kunstsalon Wolfsberg, Zürich (18 juin – 21 août)
Louis Vivin, Galerie Dina Vierny, Paris (11 décembre – 31 janvier 1980)
Louis Vivin : His Paris, Perls Gallery, New York (6 avril – 1er mai)
Louis Vivin, Perls Gallery, New York
Louis Vivin, Jeffres Gallery, Londres
Louis Vivin 1861-1936, Perls Gallery, New York (8 février – 6 mars)
Louis Vivin peintre de Paris, Centre Saint-Jacques, Paris
Louis Vivin, Sydney Janis Gallery, New York (décembre – janvier 1950)
Louis Vivin, Galerie Bing, Paris (mars)
Louis Vivin, Arts Club, Chicago (décembre)
The wonderful world of the Naïves Painters, Jiushi Art Museum, Shanghai (1er août – 12 novembre)
Naive Realism | From Rousseau to Grandma Moses, Museum More, Gorssel (25 mars – 25 juin)
Bleu-Rouge-Jaune, la palette des primitifs modernes, Galerie Dina Vierny, Paris (10 novembre – 4 février, 2023)
Die Maler des Heiligen Lichts, Museum Frieder Burda, Baden-Baden (16 juillet – 20 novembre)
Du Douanier Rousseau à Séraphine, Musée Maillol, Paris (11 septembre – 23 février 2020)
De Picasso à Séraphine – Wilhelm Uhde et les Primitifs Modernes, Lam, Villeneuve d’Ascq (29 septembre – 7 janvier 2018)
70 ans déjà, Galerie Dina Vierny, Paris (25 janvier – 24 mars)
Les Primitifs Modernes, Galerie Dina Vierny, Paris (16 mars – 30 juillet)
Bauchant – Bombois – Vivin – Horvat, Galerie Dina Vierny, Paris (13 avril – 30 juillet)
Bombois – Bauchant – Vivin – Zitman – Couturier, Galerie Dina Vierny, Paris
Le monde merveilleux des naïfs, Galerie Dina Vierny, Paris (6 juin – 14 juillet)
Die Kunst der Naïven, Haus der Kunst, Munich (1er novembre – 12 janvier 1975); Kunsthaus, Zürich (25 janvier 1975 – 31 mars 1975)
La Grande Domenica Rassegna internazionale dei Naifs, Rotonda di Via Besane, Milan (1 – 19 mai)
De Grote Naiven, Stedelijk Museum, Amsterdam (24 août – 20 octobre)
Naivni 70, Galerija primitiove umjetnosti, Zagreb (18 juillet – 20 septembre) ; Belgrade ; Rijeka ; Ljubljana
2e triennale d’Art Naif, Slovenska Narodna Galeria, Bratislava
Rousseau et le Monde des Naïfs, Galerie Seibu, Tokyo (3 – 28 septembre)
Le panorama international de la peinture naïve, M.U.C.F, Rabat (juillet – septembre)
Le Monde des Naïfs, Musée d’Art moderne, Paris (14 octobre – 6 decembre)
Pittori naïfs italiani e francesi, Palazzo Barberini, Rome
Naïve Malerei, Oldenburger Kunstverein, Oldenburg
De Lusthof der Naïven, Boymans-van Beuningen Museum, Rotterdam (10 juillet – 6 septembre)
Die Welt die Naiven, Salzburger residenzgalerie, Salzburg (4 juillet – 30 septembre)
France Landschappen van Cezanne tot heden, Boymans van Beuningen Museum, Rotterdam (4 octobre – 17 novembre)
Les peintres naïfs, Arthur Tooth and Sons Limited, Londres
Das Naive Bildt der Welt, Kunsthalle, Baden Baden (2 juillet – 4 septembre) ; Historisches Museum, Francfort (16 septembre – 19 octobre) ; Kunstverein, Hanovre (29 octobre – 10 décembre)
La peinture naïve du Douanier Rousseau à nos jours, Maison de la Pensée française, Paris (16 juin – 9 octobre)
La peinture naïve, VIII Salon interministériel des Beaux-Arts de la Ville de Paris, Paris (13 – 29 mai)
Schönheit aus der Hand: Schönheit durch die Maschine, Städtische Kunsthalle, Recklinghausen (14 juin – 27 juillet)
Les peintres naïfs du Douanier Rousseau à nos jours, Casino de Knokke-le-Zoute, Knokke-le-Zoute (20 juin – 31 août)
Cinq Maîtres Primitifs : Rousseau – Bauchant – Séraphine – Bombois – Vivin, Galerie Dina Vierny, Paris (22 mai – 30 juin)
Quelques peintres de l’éternel dimanche, Galerie Mignon-Massart, Nantes (27 avril – 12 mai)
Bauchant / Bombois / Séraphine / Vivin, Kunsthalle, Bâle (30 juin – 12 août)
Cinquante ans de peinture française, Musée des Arts Décoratifs, Paris (mars – avril)
Maler des Einfaltigen Herzens, Museum am Ostwall, Dortmund (20 septembre – 18 octobre)
Four primitive Masters : Vivin – Bombois – Bauchant – Eve, Perls Gallery, New York
Un demi siècle de peinture française, 1900-1950, musée des Beaux-Arts, Lille (10 juin – 3 juillet)
Hommage à Wilhelm Uhde, Galerie Denise René, Paris (avril – mai)
Vivin, Bauchant, Bombois, Séraphine. Moderne primitive Maler, Kunsthalle, Bern (28 juillet – 28 août)
Moderne Primitieven, Stedelijk Museum, Amsterdam
Les maîtres populaires de la réalité, Arthur Tooth & Sons LTD, Londres (17 février – 12 mars 1938) ; Museum of Modern Art, New York (27 avril – 24 juillet)
Les maîtres populaires de la réalité, Salle royale, Paris (mai) ; Kunsthaus Zürich, Zürich (16 octobre – 21 novembre)
Un siècle de peinture naïve, Galerie des Beaux-Arts, Paris (16 – 31 octobre)
Les Primitifs modernes, Galerie Georges Bernheim
Ecole de Paris, Stedelijk Museum, Amsterdam
Peintures romantiques et naïves. Bombois, Vivin, Francis, Eve Smith. Galerie Colette Weil, Paris
Les Peintres du Sacré-Coeur, Galerie des 4 chemins, Paris
Hôtel des Postes, Paris
Né dans les Vosges dans une famille d’instituteurs, Louis Vivin fit une carrière dans l’administration des PTT (Postes Télégraphes et Téléphones). Bien qu’il ait peint toute sa vie, c’est véritablement à partir de sa retraite, obtenue en 1923 pour son attitude exemplaire pendant la guerre, qu’il se consacre pleinement à la peinture jusqu’en 1934, où une paralysie du bras droit le contraint à abandonner la peinture. Sa première exposition a lieu au Salon des agents des Postes en 1889. Il fonde ensuite la section artistique des PTT, mais c’est surtout…
Né dans les Vosges dans une famille d’instituteurs, Louis Vivin fit une carrière dans l’administration des PTT (Postes Télégraphes et Téléphones). Bien qu’il ait peint toute sa vie, c’est véritablement à partir de sa retraite, obtenue en 1923 pour son attitude exemplaire pendant la guerre, qu’il se consacre pleinement à la peinture jusqu’en 1934, où une paralysie du bras droit le contraint à abandonner la peinture.
Sa première exposition a lieu au Salon des agents des Postes en 1889. Il fonde ensuite la section artistique des PTT, mais c’est surtout sa rencontre avec le critique d’art Wilhelm Uhde en 1924 qui va favoriser sa reconnaissance. Ce dernier est un fervent défenseur des « Primitifs Modernes » (Douanier Rousseau, Bauchant, Bombois, Séraphine, Rimbert, Peyronnet, etc.) auxquels il associe Louis Vivin. Il lui organise alors une exposition personnelle en 1925 qui le sort de l’anonymat, puis l’expose aux côtés du Douanier-Rousseau, de Bombois et Séraphine Louis à la Galerie des Quatre Chemins.
La consécration internationale arrive un an après sa mort, lors de l’exposition « Les Maîtres populaires de la réalité » (1937, Paris, Salle Royale).
Les thèmes que Vivin peint sont notamment inspirés par les cartes postales qu’il avait pour habitude de collectionner (monuments historiques parisiens, Montmartre, quais de la Seine, etc.). Le traitement des paysages urbains de ce peintre autodidacte n’est pas une tentative de représentation objective selon une interprétation de l’espace. La construction pierre par pierre de ses compositions traduit une confrontation entre la vision du monde extérieur et l’organisation qu’impose sa personnalité. En ressort une peinture aspirant au repos des sens et à la sévère et pure construction intellectuelle. La solitude, la monotonie et la tristesse naturelle de la vie quotidienne dépouillent ses tableaux de tout réalisme et affirment sévèrement la réalité banale pour ce peintre qui, par modestie, n’aurait pu oser peindre l’imaginaire. Mais derrière toutes ces façades régulières, en apparence objectives, ressort l’incertain, le mystère et le chagrin.
Louis Vivin, Kunstsalon Wolfsberg, Zürich (18 juin – 21 août)
Louis Vivin, Galerie Dina Vierny, Paris (11 décembre – 31 janvier 1980)
Louis Vivin : His Paris, Perls Gallery, New York (6 avril – 1er mai)
Louis Vivin, Perls Gallery, New York
Louis Vivin, Jeffres Gallery, Londres
Louis Vivin 1861-1936, Perls Gallery, New York (8 février – 6 mars)
Louis Vivin peintre de Paris, Centre Saint-Jacques, Paris
Louis Vivin, Sydney Janis Gallery, New York (décembre – janvier 1950)
Louis Vivin, Galerie Bing, Paris (mars)
Louis Vivin, Arts Club, Chicago (décembre)
The wonderful world of the Naïves Painters, Jiushi Art Museum, Shanghai (1er août – 12 novembre)
Naive Realism | From Rousseau to Grandma Moses, Museum More, Gorssel (25 mars – 25 juin)
Bleu-Rouge-Jaune, la palette des primitifs modernes, Galerie Dina Vierny, Paris (10 novembre – 4 février, 2023)
Die Maler des Heiligen Lichts, Museum Frieder Burda, Baden-Baden (16 juillet – 20 novembre)
Du Douanier Rousseau à Séraphine, Musée Maillol, Paris (11 septembre – 23 février 2020)
De Picasso à Séraphine – Wilhelm Uhde et les Primitifs Modernes, Lam, Villeneuve d’Ascq (29 septembre – 7 janvier 2018)
70 ans déjà, Galerie Dina Vierny, Paris (25 janvier – 24 mars)
Les Primitifs Modernes, Galerie Dina Vierny, Paris (16 mars – 30 juillet)
Bauchant – Bombois – Vivin – Horvat, Galerie Dina Vierny, Paris (13 avril – 30 juillet)
Bombois – Bauchant – Vivin – Zitman – Couturier, Galerie Dina Vierny, Paris
Le monde merveilleux des naïfs, Galerie Dina Vierny, Paris (6 juin – 14 juillet)
Die Kunst der Naïven, Haus der Kunst, Munich (1er novembre – 12 janvier 1975); Kunsthaus, Zürich (25 janvier 1975 – 31 mars 1975)
La Grande Domenica Rassegna internazionale dei Naifs, Rotonda di Via Besane, Milan (1 – 19 mai)
De Grote Naiven, Stedelijk Museum, Amsterdam (24 août – 20 octobre)
Naivni 70, Galerija primitiove umjetnosti, Zagreb (18 juillet – 20 septembre) ; Belgrade ; Rijeka ; Ljubljana
2e triennale d’Art Naif, Slovenska Narodna Galeria, Bratislava
Rousseau et le Monde des Naïfs, Galerie Seibu, Tokyo (3 – 28 septembre)
Le panorama international de la peinture naïve, M.U.C.F, Rabat (juillet – septembre)
Le Monde des Naïfs, Musée d’Art moderne, Paris (14 octobre – 6 decembre)
Pittori naïfs italiani e francesi, Palazzo Barberini, Rome
Naïve Malerei, Oldenburger Kunstverein, Oldenburg
De Lusthof der Naïven, Boymans-van Beuningen Museum, Rotterdam (10 juillet – 6 septembre)
Die Welt die Naiven, Salzburger residenzgalerie, Salzburg (4 juillet – 30 septembre)
France Landschappen van Cezanne tot heden, Boymans van Beuningen Museum, Rotterdam (4 octobre – 17 novembre)
Les peintres naïfs, Arthur Tooth and Sons Limited, Londres
Das Naive Bildt der Welt, Kunsthalle, Baden Baden (2 juillet – 4 septembre) ; Historisches Museum, Francfort (16 septembre – 19 octobre) ; Kunstverein, Hanovre (29 octobre – 10 décembre)
La peinture naïve du Douanier Rousseau à nos jours, Maison de la Pensée française, Paris (16 juin – 9 octobre)
La peinture naïve, VIII Salon interministériel des Beaux-Arts de la Ville de Paris, Paris (13 – 29 mai)
Schönheit aus der Hand: Schönheit durch die Maschine, Städtische Kunsthalle, Recklinghausen (14 juin – 27 juillet)
Les peintres naïfs du Douanier Rousseau à nos jours, Casino de Knokke-le-Zoute, Knokke-le-Zoute (20 juin – 31 août)
Cinq Maîtres Primitifs : Rousseau – Bauchant – Séraphine – Bombois – Vivin, Galerie Dina Vierny, Paris (22 mai – 30 juin)
Quelques peintres de l’éternel dimanche, Galerie Mignon-Massart, Nantes (27 avril – 12 mai)
Bauchant / Bombois / Séraphine / Vivin, Kunsthalle, Bâle (30 juin – 12 août)
Cinquante ans de peinture française, Musée des Arts Décoratifs, Paris (mars – avril)
Maler des Einfaltigen Herzens, Museum am Ostwall, Dortmund (20 septembre – 18 octobre)
Four primitive Masters : Vivin – Bombois – Bauchant – Eve, Perls Gallery, New York
Un demi siècle de peinture française, 1900-1950, musée des Beaux-Arts, Lille (10 juin – 3 juillet)
Hommage à Wilhelm Uhde, Galerie Denise René, Paris (avril – mai)
Vivin, Bauchant, Bombois, Séraphine. Moderne primitive Maler, Kunsthalle, Bern (28 juillet – 28 août)
Moderne Primitieven, Stedelijk Museum, Amsterdam
Les maîtres populaires de la réalité, Arthur Tooth & Sons LTD, Londres (17 février – 12 mars 1938) ; Museum of Modern Art, New York (27 avril – 24 juillet)
Les maîtres populaires de la réalité, Salle royale, Paris (mai) ; Kunsthaus Zürich, Zürich (16 octobre – 21 novembre)
Un siècle de peinture naïve, Galerie des Beaux-Arts, Paris (16 – 31 octobre)
Les Primitifs modernes, Galerie Georges Bernheim
Ecole de Paris, Stedelijk Museum, Amsterdam
Peintures romantiques et naïves. Bombois, Vivin, Francis, Eve Smith. Galerie Colette Weil, Paris
Les Peintres du Sacré-Coeur, Galerie des 4 chemins, Paris
Hôtel des Postes, Paris
Galerie Dina Vierny
36 rue Jacob 75006 Paris
Ouvert du mardi au samedi de 10h à 19h
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