Toutes les expositions ici 

« La Nuit » (1902) d'Artistide Maillol au Musée Marmottan Monet

 
 « La Nuit » (1902) d'Aristide Maillol est prêtée à l'occasion de l'exposition « L'empire du sommeil » présentée au musée Marmottan Monet jusqu'au 1er mars 2026. Ce prêt s'inscrit dans la continuité des collaborations de la galerie autour de l'œuvre de Maillol.
18.12.2025
Dina Vierny Jean-Baptiste Carpeaux, « Femme endormie » (1876) et Aristide Maillol, « La Nuit » (1902) © Studio Christian Baraja SLB
Réalisé en 1902, ce bronze constitue une étude préparatoire à la version monumentale de « La Nuit ». L'œuvre appartient à une période charnière de la production de Maillol, marquée par le développement du thème de la femme assise, pour lequel il prend souvent pour modèle son épouse, Clotilde Narcis. La figure s'inscrit dans un volume cubique, repliée sur elle-même, le visage enfoui entre les bras posés sur les genoux. Aristide Maillol met l'accent sur la solidité du torse et des cuisses, tandis que de fines ouvertures – entre le buste et les jambes, comme entre les mollets et l'arrière des cuisses – introduisent des respirations au sein de la composition.
	

Vue d'exposition « L'empire du sommeil » © Studio Christian Baraja SLB


 L’exposition réunit près de cent trente œuvres, inscrites pour la plupart dans le cadre du « long XIXᵉ siècle », des Lumières à la Grande Guerre. Issues de différentes institutions et de collections privées, tant nationales qu'internationales, ces pièces témoignent de la présence continue de ce motif dans l'histoire de l'art.

Présentée dans la première section de l'exposition, intitulée « Doux sommeil, bonheur pur », « La Nuit » est exposée aux côtés de la « Femme endormie » (1876) de Jean-Baptiste Carpeaux et du « Sommeil, buste de femme » (1889) d'Auguste Rodin. Ce dialogue met en lumière différentes approches sculpturales, du modelé expressif de la fin du XIXᵉ siècle au modelé lisse et intériorisé de Maillol.

Intégrée à ce parcours, « La Nuit » trouve une résonance avec les œuvres consacrées au repos, au rêve et à la figure allégorique du sommeil.

 L’exposition réunit près de cent trente œuvres, inscrites pour la plupart dans le cadre du « long XIXᵉ siècle », des Lumières à la Grande Guerre. Issues de différentes institutions et de collections privées, tant nationales qu'internationales, ces pièces témoignent de la présence continue de ce motif dans l'histoire de l'art.

Présentée dans la première section de l'exposition, intitulée « Doux sommeil, bonheur pur », « La Nuit » est exposée aux côtés de la « Femme endormie » (1876) de Jean-Baptiste Carpeaux et du « Sommeil, buste de femme » (1889) d'Auguste Rodin. Ce dialogue met en lumière différentes approches sculpturales, du modelé expressif de la fin du XIXᵉ siècle au modelé lisse et intériorisé de Maillol.

Intégrée à ce parcours, « La Nuit » trouve une résonance avec les œuvres consacrées au repos, au rêve et à la figure allégorique du sommeil.

Dina Vierny Jean-Baptiste Carpeaux, « Femme endormie » (1876) et Aristide Maillol, « La Nuit » (1902) © Studio Christian Baraja SLB

« La Nuit » (1902) d'Artistide Maillol au Musée Marmottan Monet

18.12.2025
 
 « La Nuit » (1902) d'Aristide Maillol est prêtée à l'occasion de l'exposition « L'empire du sommeil » présentée au musée Marmottan Monet jusqu'au 1er mars 2026. Ce prêt s'inscrit dans la continuité des collaborations de la galerie autour de l'œuvre de Maillol.
Réalisé en 1902, ce bronze constitue une étude préparatoire à la version monumentale de « La Nuit ». L'œuvre appartient à une période charnière de la production de Maillol, marquée par le développement du thème de la femme assise, pour lequel il prend souvent pour modèle son épouse, Clotilde Narcis. La figure s'inscrit dans un volume cubique, repliée sur elle-même, le visage enfoui entre les bras posés sur les genoux. Aristide Maillol met l'accent sur la solidité du torse et des cuisses, tandis que de fines ouvertures – entre le buste et les jambes, comme entre les mollets et l'arrière des cuisses – introduisent des respirations au sein de la composition.
	
 L’exposition réunit près de cent trente œuvres, inscrites pour la plupart dans le cadre du « long XIXᵉ siècle », des Lumières à la Grande Guerre. Issues de différentes institutions et de collections privées, tant nationales qu'internationales, ces pièces témoignent de la présence continue de ce motif dans l'histoire de l'art.

Présentée dans la première section de l'exposition, intitulée « Doux sommeil, bonheur pur », « La Nuit » est exposée aux côtés de la « Femme endormie » (1876) de Jean-Baptiste Carpeaux et du « Sommeil, buste de femme » (1889) d'Auguste Rodin. Ce dialogue met en lumière différentes approches sculpturales, du modelé expressif de la fin du XIXᵉ siècle au modelé lisse et intériorisé de Maillol.

Intégrée à ce parcours, « La Nuit » trouve une résonance avec les œuvres consacrées au repos, au rêve et à la figure allégorique du sommeil.

Ne ratez rien de nos actualités, abonnez vous à notre newsletter !