

Charles Pollock est né en 1902 à Denver dans le Colorado. Ainé de sa fratrie, il passe son enfance entre le Colorado, le Wyoming, l’Arizona et la Californie. En 1922, il emménage à Los Angeles où il travaille au Los Angeles Times en parallèle de ses études d’art à l’Otis Art Institute. C’est à cette époque que Charles Pollock développe son goût pour le travail des artistes mexicains, en particulier les peintres muralistes comme Orozco et Rivera. Il quitte Los Angeles en 1926 pour poursuivre ses études à New York…
Charles Pollock est né en 1902 à Denver dans le Colorado. Ainé de sa fratrie, il passe son enfance entre le Colorado, le Wyoming, l’Arizona et la Californie. En 1922, il emménage à Los Angeles où il travaille au Los Angeles Times en parallèle de ses études d’art à l’Otis Art Institute. C’est à cette époque que Charles Pollock développe son goût pour le travail des artistes mexicains, en particulier les peintres muralistes comme Orozco et Rivera. Il quitte Los Angeles en 1926 pour poursuivre ses études à New York auprès de Thomas Hart Benton à la Art Students League.
En 1935 il s’installe à Washington pour travailler pour la Resettlement Administration, un organisme fédéral et collabore au projet de partitions de chansons de Charles Seeger. Deux ans plus tard, il quitte Washington pour Detroit et devient caricaturiste politique pour le journal du syndicat United Automobile Workers. De 1938 à 1942, il occupe un poste de Superviseur des Peintures murales et des arts graphiques au Federal Art Project. Après avoir travaillé sur une commande de peinture murale de la Michigan University, il rejoint le département des Arts Plastiques de cette université où il enseigne pendant plus de vingt ans la gravure, la calligraphie et le graphisme.
En 1945 il passe trois mois à peindre et à dessiner dans le désert de l’Arizona, moment durant lequel il abandonne le réalisme social et entame ses toiles abstraites. Charles Pollock prend deux années sabbatiques, la première en 1955 au bord du lac Chapala, puis en 1962, moment où il voyage en Europe avec Sylvia Winter, sa future épouse. En 1967, Pollock prend sa retraite d’enseignant et s’installe avec sa famille à New York où il continue de peindre. En 1971, il s’installe à Paris avec sa femme et sa fille Francesca jusqu’à son décès en 1988.
L’œuvre de Charles Pollock s’inscrit dans une démarche de recherche picturale continue, fondée sur l’observation, la rigueur et le temps. D’abord influencé par la calligraphie, il conçoit la peinture comme un langage construit à partir de la ligne et de la couleur. Ses compositions reposent sur des structures précises, où l’équilibre entre forme et vide, rythme et silence, joue un rôle central. En s’éloignant progressivement du réalisme social, Pollock explore la dimension abstraite du geste et du champ chromatique, privilégiant une approche analytique du rapport entre la couleur et l’espace. Dans ses dernières années, il simplifie son vocabulaire plastique, réduisant les éléments à l’essentiel pour laisser apparaître une peinture épurée, presque méditative, où chaque trace devient signe et pensée.
Charles Pollock – Un Américain à Paris, Galerie ETC, Paris (5 octobre au 30 novembre)
Charles Pollock- Un siècle américain, Galerie ETC, Paris (7 octobre au 17 décembre)
Charles Pollock, FRAC Auvergne, Clermont-Ferrand (20 mai au 18 septembre)
Charles Pollock – Color Field 1967-70, Galerie ETC, Paris, France (8 octobre au 28 février 2021)
Charles Pollock, Galerie ETC, Paris, France (10 octobre au 1er décembre)
Charles Pollock in the 1960s, Butler Institute of America Art, Youngstown (11 september au 20 novembre)
Charles Pollock. A retrospective, Collection Peggy Guggenheim, Venise (23 avril au 14 septembre)
Charles Pollock Armory Show, ADAA, Parl Avenue Armory. Jason McCoy Inc., New York (19 au 23 février)
Paintings and drawings from the 50s, American Contemporary Art Gallery, Munich
The Chapala Series, 1955-1956, Jason McCoy Inc., New York (8 mars au 21 avril)
Charles Pollock. A retrospective, Ball State University Museum, Muncie (19 janvier au 9 mars)
The Rome Series, Jason McCoy Inc., New York
Charles Pollock – Recent paintings, Dimock Gallery, Washington, D.C. (13 décembre au 11 janvier 1985)
Gertrude Kasle Gallery, Detroit
Henri Gallery, Washington D.C.
Kresge Art Center, Michigan State University, East Lansing, Michigan, USA
Galeria Pogliani, Rome
Literature & Fine Arts Gallery, Michigan State College, East Lansing, Michigan
Circle Gallery, Detroit, Michigan (sous le nom de « Charles Pima »)
Ferargil Gallery, New York
On paper, Galerie ETC, Paris (19 mars au 30 avril)
Charles and Jackson Pollock, The Society of the Four Arts, Palm Beach (30 janvier au 28 mars)
Charles Pollock. Modernism in the Making, MSU Broad Art Museum, East Lansing (21 août au 30 décembre)
Abstractions américaines, Espace d’art contemporain Fernet-Branca, Saint-Louis (2 juin au 22 septembre)
Great Moderns. Peggy Guggenheim Collection, Venice Art of the Twentieth Century, Centro Cultural Palacio La Moneda, Santiago (31 octobre au 26 févier 2013)
Peggy Guggenheim and the New American Painting, Arca, Vercelli (21 novembre au 1er mars 2009)
Color and Field, 1890-1970, Albright-Knox Art Gallery, Buffalo (15 septembre au 1er novembre) ; Dayton Art Institute, Dayton (20 novembre au 10 janvier 1971) ; Cleveland Museum of Art, Cleveland (4 février au 28 mars 1971)
30th Biennial Exhibition of Contemporary American Painting, The Corcoran Gallery of Art, Washington D.C (24 février au 19 avril)
Charles Pollock est né en 1902 à Denver dans le Colorado. Ainé de sa fratrie, il passe son enfance entre le Colorado, le Wyoming, l’Arizona et la Californie. En 1922, il emménage à Los Angeles où il travaille au Los Angeles Times en parallèle de ses études d’art à l’Otis Art Institute. C’est à cette époque que Charles Pollock développe son goût pour le travail des artistes mexicains, en particulier les peintres muralistes comme Orozco et Rivera. Il quitte Los Angeles en 1926 pour poursuivre ses études à New York auprès de Thomas Hart Benton à la Art Students League.
En 1935 il s’installe à Washington pour travailler pour la Resettlement Administration, un organisme fédéral et collabore au projet de partitions de chansons de Charles Seeger. Deux ans plus tard, il quitte Washington pour Detroit et devient caricaturiste politique pour le journal du syndicat United Automobile Workers. De 1938 à 1942, il occupe un poste de Superviseur des Peintures murales et des arts graphiques au Federal Art Project. Après avoir travaillé sur une commande de peinture murale de la Michigan University, il rejoint le département des Arts Plastiques de cette université où il enseigne pendant plus de vingt ans la gravure, la calligraphie et le graphisme.
En 1945 il passe trois mois à peindre et à dessiner dans le désert de l’Arizona, moment durant lequel il abandonne le réalisme social et entame ses toiles abstraites. Charles Pollock prend deux années sabbatiques, la première en 1955 au bord du lac Chapala, puis en 1962, moment où il voyage en Europe avec Sylvia Winter, sa future épouse. En 1967, Pollock prend sa retraite d’enseignant et s’installe avec sa famille à New York où il continue de peindre. En 1971, il s’installe à Paris avec sa femme et sa fille Francesca jusqu’à son décès en 1988.
L’œuvre de Charles Pollock s’inscrit dans une démarche de recherche picturale continue, fondée sur l’observation, la rigueur et le temps. D’abord influencé par la calligraphie, il conçoit la peinture comme un langage construit à partir de la ligne et de la couleur. Ses compositions reposent sur des structures précises, où l’équilibre entre forme et vide, rythme et silence, joue un rôle central. En s’éloignant progressivement du réalisme social, Pollock explore la dimension abstraite du geste et du champ chromatique, privilégiant une approche analytique du rapport entre la couleur et l’espace. Dans ses dernières années, il simplifie son vocabulaire plastique, réduisant les éléments à l’essentiel pour laisser apparaître une peinture épurée, presque méditative, où chaque trace devient signe et pensée.
Charles Pollock – Un Américain à Paris, Galerie ETC, Paris (5 octobre au 30 novembre)
Charles Pollock- Un siècle américain, Galerie ETC, Paris (7 octobre au 17 décembre)
Charles Pollock, FRAC Auvergne, Clermont-Ferrand (20 mai au 18 septembre)
Charles Pollock – Color Field 1967-70, Galerie ETC, Paris, France (8 octobre au 28 février 2021)
Charles Pollock, Galerie ETC, Paris, France (10 octobre au 1er décembre)
Charles Pollock in the 1960s, Butler Institute of America Art, Youngstown (11 september au 20 novembre)
Charles Pollock. A retrospective, Collection Peggy Guggenheim, Venise (23 avril au 14 septembre)
Charles Pollock Armory Show, ADAA, Parl Avenue Armory. Jason McCoy Inc., New York (19 au 23 février)
Paintings and drawings from the 50s, American Contemporary Art Gallery, Munich
The Chapala Series, 1955-1956, Jason McCoy Inc., New York (8 mars au 21 avril)
Charles Pollock. A retrospective, Ball State University Museum, Muncie (19 janvier au 9 mars)
The Rome Series, Jason McCoy Inc., New York
Charles Pollock – Recent paintings, Dimock Gallery, Washington, D.C. (13 décembre au 11 janvier 1985)
Gertrude Kasle Gallery, Detroit
Henri Gallery, Washington D.C.
Kresge Art Center, Michigan State University, East Lansing, Michigan, USA
Galeria Pogliani, Rome
Literature & Fine Arts Gallery, Michigan State College, East Lansing, Michigan
Circle Gallery, Detroit, Michigan (sous le nom de « Charles Pima »)
Ferargil Gallery, New York
On paper, Galerie ETC, Paris (19 mars au 30 avril)
Charles and Jackson Pollock, The Society of the Four Arts, Palm Beach (30 janvier au 28 mars)
Charles Pollock. Modernism in the Making, MSU Broad Art Museum, East Lansing (21 août au 30 décembre)
Abstractions américaines, Espace d’art contemporain Fernet-Branca, Saint-Louis (2 juin au 22 septembre)
Great Moderns. Peggy Guggenheim Collection, Venice Art of the Twentieth Century, Centro Cultural Palacio La Moneda, Santiago (31 octobre au 26 févier 2013)
Peggy Guggenheim and the New American Painting, Arca, Vercelli (21 novembre au 1er mars 2009)
Color and Field, 1890-1970, Albright-Knox Art Gallery, Buffalo (15 septembre au 1er novembre) ; Dayton Art Institute, Dayton (20 novembre au 10 janvier 1971) ; Cleveland Museum of Art, Cleveland (4 février au 28 mars 1971)
30th Biennial Exhibition of Contemporary American Painting, The Corcoran Gallery of Art, Washington D.C (24 février au 19 avril)

Charles Pollock est né en 1902 à Denver dans le Colorado. Ainé de sa fratrie, il passe son enfance entre le Colorado, le Wyoming, l’Arizona et la Californie. En 1922, il emménage à Los Angeles où il travaille au Los Angeles Times en parallèle de ses études d’art à l’Otis Art Institute. C’est à cette époque que Charles Pollock développe son goût pour le travail des artistes mexicains, en particulier les peintres muralistes comme Orozco et Rivera. Il quitte Los Angeles en 1926 pour poursuivre ses études à New York…
Charles Pollock est né en 1902 à Denver dans le Colorado. Ainé de sa fratrie, il passe son enfance entre le Colorado, le Wyoming, l’Arizona et la Californie. En 1922, il emménage à Los Angeles où il travaille au Los Angeles Times en parallèle de ses études d’art à l’Otis Art Institute. C’est à cette époque que Charles Pollock développe son goût pour le travail des artistes mexicains, en particulier les peintres muralistes comme Orozco et Rivera. Il quitte Los Angeles en 1926 pour poursuivre ses études à New York auprès de Thomas Hart Benton à la Art Students League.
En 1935 il s’installe à Washington pour travailler pour la Resettlement Administration, un organisme fédéral et collabore au projet de partitions de chansons de Charles Seeger. Deux ans plus tard, il quitte Washington pour Detroit et devient caricaturiste politique pour le journal du syndicat United Automobile Workers. De 1938 à 1942, il occupe un poste de Superviseur des Peintures murales et des arts graphiques au Federal Art Project. Après avoir travaillé sur une commande de peinture murale de la Michigan University, il rejoint le département des Arts Plastiques de cette université où il enseigne pendant plus de vingt ans la gravure, la calligraphie et le graphisme.
En 1945 il passe trois mois à peindre et à dessiner dans le désert de l’Arizona, moment durant lequel il abandonne le réalisme social et entame ses toiles abstraites. Charles Pollock prend deux années sabbatiques, la première en 1955 au bord du lac Chapala, puis en 1962, moment où il voyage en Europe avec Sylvia Winter, sa future épouse. En 1967, Pollock prend sa retraite d’enseignant et s’installe avec sa famille à New York où il continue de peindre. En 1971, il s’installe à Paris avec sa femme et sa fille Francesca jusqu’à son décès en 1988.
L’œuvre de Charles Pollock s’inscrit dans une démarche de recherche picturale continue, fondée sur l’observation, la rigueur et le temps. D’abord influencé par la calligraphie, il conçoit la peinture comme un langage construit à partir de la ligne et de la couleur. Ses compositions reposent sur des structures précises, où l’équilibre entre forme et vide, rythme et silence, joue un rôle central. En s’éloignant progressivement du réalisme social, Pollock explore la dimension abstraite du geste et du champ chromatique, privilégiant une approche analytique du rapport entre la couleur et l’espace. Dans ses dernières années, il simplifie son vocabulaire plastique, réduisant les éléments à l’essentiel pour laisser apparaître une peinture épurée, presque méditative, où chaque trace devient signe et pensée.
Charles Pollock – Un Américain à Paris, Galerie ETC, Paris (5 octobre au 30 novembre)
Charles Pollock- Un siècle américain, Galerie ETC, Paris (7 octobre au 17 décembre)
Charles Pollock, FRAC Auvergne, Clermont-Ferrand (20 mai au 18 septembre)
Charles Pollock – Color Field 1967-70, Galerie ETC, Paris, France (8 octobre au 28 février 2021)
Charles Pollock, Galerie ETC, Paris, France (10 octobre au 1er décembre)
Charles Pollock in the 1960s, Butler Institute of America Art, Youngstown (11 september au 20 novembre)
Charles Pollock. A retrospective, Collection Peggy Guggenheim, Venise (23 avril au 14 septembre)
Charles Pollock Armory Show, ADAA, Parl Avenue Armory. Jason McCoy Inc., New York (19 au 23 février)
Paintings and drawings from the 50s, American Contemporary Art Gallery, Munich
The Chapala Series, 1955-1956, Jason McCoy Inc., New York (8 mars au 21 avril)
Charles Pollock. A retrospective, Ball State University Museum, Muncie (19 janvier au 9 mars)
The Rome Series, Jason McCoy Inc., New York
Charles Pollock – Recent paintings, Dimock Gallery, Washington, D.C. (13 décembre au 11 janvier 1985)
Gertrude Kasle Gallery, Detroit
Henri Gallery, Washington D.C.
Kresge Art Center, Michigan State University, East Lansing, Michigan, USA
Galeria Pogliani, Rome
Literature & Fine Arts Gallery, Michigan State College, East Lansing, Michigan
Circle Gallery, Detroit, Michigan (sous le nom de « Charles Pima »)
Ferargil Gallery, New York
On paper, Galerie ETC, Paris (19 mars au 30 avril)
Charles and Jackson Pollock, The Society of the Four Arts, Palm Beach (30 janvier au 28 mars)
Charles Pollock. Modernism in the Making, MSU Broad Art Museum, East Lansing (21 août au 30 décembre)
Abstractions américaines, Espace d’art contemporain Fernet-Branca, Saint-Louis (2 juin au 22 septembre)
Great Moderns. Peggy Guggenheim Collection, Venice Art of the Twentieth Century, Centro Cultural Palacio La Moneda, Santiago (31 octobre au 26 févier 2013)
Peggy Guggenheim and the New American Painting, Arca, Vercelli (21 novembre au 1er mars 2009)
Color and Field, 1890-1970, Albright-Knox Art Gallery, Buffalo (15 septembre au 1er novembre) ; Dayton Art Institute, Dayton (20 novembre au 10 janvier 1971) ; Cleveland Museum of Art, Cleveland (4 février au 28 mars 1971)
30th Biennial Exhibition of Contemporary American Painting, The Corcoran Gallery of Art, Washington D.C (24 février au 19 avril)
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