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Catalogue de l'expositon "Robert Couturier. Silhouettes" présentée à la galerie Dina Vierny du 24 mai au 25 juillet 2024.
Textes de Claire Maingon et Thierry Dufrêne. Préface de Valérie Da Costa.
124 pages
bilingue français/anglais
Édition Galerie Dina Vierny
‘« Je n’aime pas les choses qui sentent la sueur », me répétait souvent, non sans humour, Robert Couturier. Et d’ajouter : « Au fond, la sculpture m’embête par certains côtés. » Ces deux phrases pourraient résumer à elles seules l’état d’esprit qui, au fil des années, a guidé la sculpture de Robert Couturier dans ce XXe siècle qu’il a traversé entre présence et absence au gré des modes artistiques. Collaborateur à ses premières heures de l’architecte Émile Aillaud pour le Pavillon de l’Élégance dans le cadre de l’Exposition internationale des arts et techniques de Paris en 1937, Robert Couturier, alors jeune sculpteur, se fait remarquer par l’audace de ses sculptures, des mannequins en plâtre hauts de plus de deux mètres, impossibles à habiller, que Jeanne Lanvin, Elsa Schiaparelli ou Madeleine Vionnet préfèrent couvrir d’un simple rouleau de tissu. Roger Parry le photographie au début des années 30 donnant de lui une image de crooner si différente des photographies qu’on connaît du sculpteur. Sa présence occupe la scène artistique parisienne, lui, l’ancien « disciple » d’Aristide Maillol dont ce dernier peinait à reconnaître son esthétique voluptueuse dans ses sculptures et disant sans détour : « Vous, Couturier, dans le genre mal foutu, vous ferez quelque chose de très bien. » Il faut dire que le jeune sculpteur s’empare des enjeux de la sculpture en en bouleversant les codes, ce qui n’est pas sans déplaire au maître.’ (Valérie Da Costa)
20.5 x 26.5 cm
couverture rigide
Prix : 35 €
Catalogue de l'expositon "Robert Couturier. Silhouettes" présentée à la galerie Dina Vierny du 24 mai au 25 juillet 2024.
Textes de Claire Maingon et Thierry Dufrêne. Préface de Valérie Da Costa.
124 pages
bilingue français/anglais
Édition Galerie Dina Vierny
‘« Je n’aime pas les choses qui sentent la sueur », me répétait souvent, non sans humour, Robert Couturier. Et d’ajouter : « Au fond, la sculpture m’embête par certains côtés. » Ces deux phrases pourraient résumer à elles seules l’état d’esprit qui, au fil des années, a guidé la sculpture de Robert Couturier dans ce XXe siècle qu’il a traversé entre présence et absence au gré des modes artistiques. Collaborateur à ses premières heures de l’architecte Émile Aillaud pour le Pavillon de l’Élégance dans le cadre de l’Exposition internationale des arts et techniques de Paris en 1937, Robert Couturier, alors jeune sculpteur, se fait remarquer par l’audace de ses sculptures, des mannequins en plâtre hauts de plus de deux mètres, impossibles à habiller, que Jeanne Lanvin, Elsa Schiaparelli ou Madeleine Vionnet préfèrent couvrir d’un simple rouleau de tissu. Roger Parry le photographie au début des années 30 donnant de lui une image de crooner si différente des photographies qu’on connaît du sculpteur. Sa présence occupe la scène artistique parisienne, lui, l’ancien « disciple » d’Aristide Maillol dont ce dernier peinait à reconnaître son esthétique voluptueuse dans ses sculptures et disant sans détour : « Vous, Couturier, dans le genre mal foutu, vous ferez quelque chose de très bien. » Il faut dire que le jeune sculpteur s’empare des enjeux de la sculpture en en bouleversant les codes, ce qui n’est pas sans déplaire au maître.’ (Valérie Da Costa)
20.5 x 26.5 cm
couverture rigide
Prix : 35 €
Galerie Dina Vierny
36 rue Jacob 75006 Paris
Ouvert du mardi au samedi de 10h à 19h
Galerie Dina Vierny
36 rue Jacob 75006 Paris
Ouvert du mardi au samedi
de 10h à 19h
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